Lutte contre l’insécurité : Des présumés assassins, voleurs et détenteurs de médicaments aux arrêts

Bravo à la police. Les voleurs devraient savoir ceci. Aujourd’hui, il ne sert à rien de voler les cartes téléphoniques ou les téléphones portables, pire, de tuer quelqu’un pour voler ces cartes ou téléphones. Le principe ou l’enquête est très simplement. Au Burkina Faso, chaque opérateur de téléphonie mobile (Telmob, Télécel, Airtel) ou chaque distributeur agrée relève toujours les N° IMEI de tous les téléphones vendus dans leurs boutiques. Il relève aussi les codes des cartes et les N° de série, etc. des cartes téléphoniques. Ces informations sont stockées dans leur base de données. ET lorsqu’un voleur vole une carte ou un portable, l’opérateur communique à la police les références du produit volé. Et l’opérateur surveille qui va l’utilisé sur son réseau et informe la police. Ainsi la personne qui l’utilise et les personnes que cette personne appelle sont identifiées et arrêtées par la police pour interrogation sur l’origine de son produit. Facilement la police remonte la filière. C’était une évidence que les assassin du vigile de Niangoloko serait arrêtés. Ce ne sont pas des professionnels du vol. Sinon, ils auraient du savoir que de nos jours, on ne vole plus les portables et les cartes téléphoniques. Chers forumistes, pour mieux faciliter les enquêtes de la police et gendarmerie, outre l’identification de nos N° de téléphone chez nos opérateurs, chacun doit systématiquement relever les références IMEI de son téléphone portable. C’est avec ces références que la police travail en cas de vol. En rappel, pour relever ces références, taper *#06# et lancer le ok ou appel. Copier tout ce qui s’affiche sur votre écran. En cas de vol, communiquer cela à la police. Elle peut arrêter l’acheteur et le receleur si elle le veut car sur cette terre, deux téléphones n’ont jamais les mêmes références IMEI. Même si le voleur émet avec votre téléphone volé au Japon, il peut être repéré. C’est pour cela, je dis qu’il ne sert à rien aujourd’hui de tuer quelqu’un pour voler son portable ou ses cartes téléphoniques.