Illégalité de la dot : Les femmes n’en parlent pas
22 avril 2013, 22:49, par
Jamanatigui
Je pense qu’ici il ne s’agit pas de lutte pour applicabilité de l’article 244 mais d’une lutte que nous devrons mener pour adapter le code des personnes et de la famille à nos us et coutumes.
Pensez vous sincèrement que cette lutte contre la dot vaut elle la peine d’être mener dans ce faso qui à mille et un problème à résoudre ? Est il juste de prendre le cas de ce jeune qui déboursé 400 000 francs pour généraliser ? Je pense que dans un mariage il est difficle d’evaluer le coût de la contre partie donc n’extrapolons pas les choses.
Que chacun de apprennent à mettre sa tête là où il faut. il ne s’agit pas d’aller faire le gros dos dans belle famile et pire sortir nous crier qu’on te fait depenser.
Même si l’on supprimait la dot, que ferons les femmes pour réguler le coût festive de nos mariages ?
Je pense qu’il appartient à chacun d’organiser son mariage selon budget et peut suivant la classe de la marié.
En fin je pense sincère que le code des personnes et de la famille merite une relecture qui ne devrait pas être faite par les femmes devorcées seulement mais d’un echatillon representatif de la société Burkinabé.
Je pense qu’ici il ne s’agit pas de lutte pour applicabilité de l’article 244 mais d’une lutte que nous devrons mener pour adapter le code des personnes et de la famille à nos us et coutumes.
Pensez vous sincèrement que cette lutte contre la dot vaut elle la peine d’être mener dans ce faso qui à mille et un problème à résoudre ? Est il juste de prendre le cas de ce jeune qui déboursé 400 000 francs pour généraliser ? Je pense que dans un mariage il est difficle d’evaluer le coût de la contre partie donc n’extrapolons pas les choses.
Que chacun de apprennent à mettre sa tête là où il faut. il ne s’agit pas d’aller faire le gros dos dans belle famile et pire sortir nous crier qu’on te fait depenser.
Même si l’on supprimait la dot, que ferons les femmes pour réguler le coût festive de nos mariages ?
Je pense qu’il appartient à chacun d’organiser son mariage selon budget et peut suivant la classe de la marié.
En fin je pense sincère que le code des personnes et de la famille merite une relecture qui ne devrait pas être faite par les femmes devorcées seulement mais d’un echatillon representatif de la société Burkinabé.