DRESS des Hauts-Bassins : Onze lycéens privés de Bac
19 avril 2013, 09:29, par
Yaa Mâam
Si le bac burkinabè a encore une bonne réputation c’est la rigueur qui entoure toute la législation relative à son organisation et la délivrance des diplômes aux lauréats (hormis les problèmes informatiques qui ont entaché la proclamation de résultats de certaines cessions dans quelques jurys et qui du reste, ont été rattrapés).La dérogation facile, sans le temps de procéder à des vérifications à la source, peut ouvrir une faille dans le système et dans laquelle les faussaires de tout poil vont s’engouffrer.
Toutefois, il y a de quoi être peiné quand on se met à la place de ces élèves qui sont victimes d’une situation indépendante de leur volonté. La solution serait que le MESS récence urgemment et de façon exhaustive tous ces cas et dépêche une mission qui rencontrera les autorités ivoiriennes qui pourraient certifier les attestations présentées par ces élèves au cas où la partie ivoirienne ne peut pas délivrer sur place les parchemins définitifs. Et voir ce qui peut être fait pour que ces désagréments n’arrivent plus à nos enfants une prochaine fois. Le droit à l’école n’en pas un sans droit aux examens scolaires.
Si le bac burkinabè a encore une bonne réputation c’est la rigueur qui entoure toute la législation relative à son organisation et la délivrance des diplômes aux lauréats (hormis les problèmes informatiques qui ont entaché la proclamation de résultats de certaines cessions dans quelques jurys et qui du reste, ont été rattrapés).La dérogation facile, sans le temps de procéder à des vérifications à la source, peut ouvrir une faille dans le système et dans laquelle les faussaires de tout poil vont s’engouffrer.
Toutefois, il y a de quoi être peiné quand on se met à la place de ces élèves qui sont victimes d’une situation indépendante de leur volonté. La solution serait que le MESS récence urgemment et de façon exhaustive tous ces cas et dépêche une mission qui rencontrera les autorités ivoiriennes qui pourraient certifier les attestations présentées par ces élèves au cas où la partie ivoirienne ne peut pas délivrer sur place les parchemins définitifs. Et voir ce qui peut être fait pour que ces désagréments n’arrivent plus à nos enfants une prochaine fois. Le droit à l’école n’en pas un sans droit aux examens scolaires.