Suite à la crise alimentaire de 2012, Oxfam appelle à une réforme radicale de la lutte contre la faim au Sahel
18 avril 2013, 09:03, par
synetik
C’est vrai ce que vous avez dit... Au Sahel on n’a pas besoin d’utiliser les engrais pour arriver à une production suffisante pour nourrir les familles. C’est simplement parce que les gouvernants ne connaissent rien (ou feignent de ne rien connaître) au type d’agriculture qui peut à la fois être productif et protecteur de l’environnement. Le compost comme "meilleur engrais" des cultures au Sahel n’est pas une utopie : à la ferme pilote de Guiè, les rendements du sorgho et du mil vont jusqu’à plus de 2 T/ha et ce sans l’utilisation d’aucun engrais chimique, ni de pesticides (rotations culturales, haie-vive et arbres dans les champs y permettent de faire fi des pesticides). On sait tous que dans cette affaire d’engrais et de pesticides c’est une histoire de millions. Cependant, que chacun à son niveau travaille à instaurer ce modèle d’agriculture durable qui n’est que la vraie solution aux problèmes que vivent les populations sahéliennes.
C’est vrai ce que vous avez dit... Au Sahel on n’a pas besoin d’utiliser les engrais pour arriver à une production suffisante pour nourrir les familles. C’est simplement parce que les gouvernants ne connaissent rien (ou feignent de ne rien connaître) au type d’agriculture qui peut à la fois être productif et protecteur de l’environnement. Le compost comme "meilleur engrais" des cultures au Sahel n’est pas une utopie : à la ferme pilote de Guiè, les rendements du sorgho et du mil vont jusqu’à plus de 2 T/ha et ce sans l’utilisation d’aucun engrais chimique, ni de pesticides (rotations culturales, haie-vive et arbres dans les champs y permettent de faire fi des pesticides). On sait tous que dans cette affaire d’engrais et de pesticides c’est une histoire de millions. Cependant, que chacun à son niveau travaille à instaurer ce modèle d’agriculture durable qui n’est que la vraie solution aux problèmes que vivent les populations sahéliennes.