Situation à la santé : Le PA.RE.N demande au Chef de l’Etat de s’expliquer
16 avril 2013, 05:36, par
kouma fola
Notre démocratie est biaisée. Comment comprendre que devant une situation aussi délétère que le président Compaoré soit muet ? Son va -t- en guerre de premier ministre n’a plus la confiance de la majorité du peuple à cause de ses fuites en avant. Si le président Compaoré aime son peuple, qu’il lui parle ; meme s’il n’a pas les solutions immédiates, lorsque le papa d’une famille parle à son enfant, il arrive souvent à le calmer et ramener la serenité. C’est un devoir du président surtout au moment ou BLAT n’est plus le BLAT dès son arrivée à la primature. Le système mis en place par le CDP lui a fait "des mutations chromosomiques" avec des repercussions sur son comportement. Meme s’il doit partir avec son gouvernement, qu’il parte. Que le président prenne ses responsabilités devant l’histoire !
Un président muet nous n’en voulons pas. Dans les vrais démocraties, devant un problème national, on entend la voix du premier magistrat du pays parfois aidé de personnalités influentes. Alors mon président, reveillez vous ! Les burkinabè veulent vous entendre sur la situation nationale :
Notre démocratie est biaisée. Comment comprendre que devant une situation aussi délétère que le président Compaoré soit muet ? Son va -t- en guerre de premier ministre n’a plus la confiance de la majorité du peuple à cause de ses fuites en avant. Si le président Compaoré aime son peuple, qu’il lui parle ; meme s’il n’a pas les solutions immédiates, lorsque le papa d’une famille parle à son enfant, il arrive souvent à le calmer et ramener la serenité. C’est un devoir du président surtout au moment ou BLAT n’est plus le BLAT dès son arrivée à la primature. Le système mis en place par le CDP lui a fait "des mutations chromosomiques" avec des repercussions sur son comportement. Meme s’il doit partir avec son gouvernement, qu’il parte. Que le président prenne ses responsabilités devant l’histoire !
Un président muet nous n’en voulons pas. Dans les vrais démocraties, devant un problème national, on entend la voix du premier magistrat du pays parfois aidé de personnalités influentes. Alors mon président, reveillez vous ! Les burkinabè veulent vous entendre sur la situation nationale :