Tatouages : Une pratique qui prend de l’ampleur à Ouagadougou
12 avril 2013, 05:16, par
Hamane
En occident, il parait que le percering ou percering (peut être le tatouage et la dépigmentation cutanée) est considéré comme une violence qu’un individu fait sur son propre corps. Si ça fait du mal à quelqu’un c’est à cet individu lui-même et en la matière les droits de l’homme autorise un individu à faire violence sur son propre corps m’a t-on dit. ces pratique ne posent pas un problème de santé publique. leurs conséquences sanitaires ne sont pas contagieuses. Donc les pratiquants et pratiquantes ont de beaux jours devant eux car l’Afrique s’oblige à singer l’Europe pour aller vers un monde de plus en plus libre. Quand on va arriver au terminus de la liberté, on va redécouvrir la nécessité de contraindre les gens et on va recommencer à Zéro. Car peu d’être humains savent réellement ce qu’ils veulent. et Beaucoup d’être humains, ne sont humains que par simple définition. dans la pratique, ils sont des être inhumains
En occident, il parait que le percering ou percering (peut être le tatouage et la dépigmentation cutanée) est considéré comme une violence qu’un individu fait sur son propre corps. Si ça fait du mal à quelqu’un c’est à cet individu lui-même et en la matière les droits de l’homme autorise un individu à faire violence sur son propre corps m’a t-on dit. ces pratique ne posent pas un problème de santé publique. leurs conséquences sanitaires ne sont pas contagieuses. Donc les pratiquants et pratiquantes ont de beaux jours devant eux car l’Afrique s’oblige à singer l’Europe pour aller vers un monde de plus en plus libre. Quand on va arriver au terminus de la liberté, on va redécouvrir la nécessité de contraindre les gens et on va recommencer à Zéro. Car peu d’être humains savent réellement ce qu’ils veulent. et Beaucoup d’être humains, ne sont humains que par simple définition. dans la pratique, ils sont des être inhumains