Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
L’effectivité de l’assurance maladie au Burkina : Des rencontres de concertations sont lancées
10 avril 2013, 10:49, par
Bark Biga
Manoeuvres électorales pour préparer les populations à la consultation électorale pour le référendum. On vous voit venir.
Sinon les services publics actuels de la santé ne disposent d’aucune offre sérieuse pour la santé des populations et vous parlez de l’accès à cette offre inexistante en évoquant une assurance santé collective. C’est bien beau d’avoir une carte d’assurance, mais si vous n’avez pas d’accès aux services de santé publique avec une telle carte, on peut toujours attendre septembre pour envisager les modalités de mise en oeuvre. C’est ça l’incompétence des concepteurs de ce projet. Il faut d’abord créer les conditions objectives de l’accès au soins médicaux avant d’aborder les modalités d’accès à ces soins. Or, dans les hôpitaux et CSPS actuellement, il n’y a rien... et ce n’est pas la carte d’assurance qui va donc inventer les infrastructures et les médicaments. Je regrette que cette équation aussi simple ne soit pas bien posée par les gouvernants.
Manoeuvres électorales pour préparer les populations à la consultation électorale pour le référendum. On vous voit venir.
Sinon les services publics actuels de la santé ne disposent d’aucune offre sérieuse pour la santé des populations et vous parlez de l’accès à cette offre inexistante en évoquant une assurance santé collective. C’est bien beau d’avoir une carte d’assurance, mais si vous n’avez pas d’accès aux services de santé publique avec une telle carte, on peut toujours attendre septembre pour envisager les modalités de mise en oeuvre. C’est ça l’incompétence des concepteurs de ce projet. Il faut d’abord créer les conditions objectives de l’accès au soins médicaux avant d’aborder les modalités d’accès à ces soins. Or, dans les hôpitaux et CSPS actuellement, il n’y a rien... et ce n’est pas la carte d’assurance qui va donc inventer les infrastructures et les médicaments. Je regrette que cette équation aussi simple ne soit pas bien posée par les gouvernants.