Patrice Zoenga, Président de l’Aneb : « Les étudiants ne sont pas violents. »

Mr l’étudiant des années 1980, épargnes nous tes discours à la noix ; on parle d’etudes pas d’emploi (les entreprises serieuses vont au delà du physique)on s’en fou de l’apparence, l’étudiant burkinabé se cherche. C’est trop facile de critiquer devant son ordinateur, c’est pas sur que tu ferais mieux à sa place. Courage aux étudiants. On ne veut pas d’enseignement au rabais, l’enseignement au Burkina est de moins en moins compétitif.