Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
TRANSPORT URBAIN : Les taxis-motos, en maîtres à Fada N’Gourma
28 février 2013, 07:54, par
le fadalais
C’est normal que l’activité ne marche plus comme avant !!! Les jeunes sont désemparés et foncent sur toute affaire qui semble donner sans aucune analyse. Je m’en prend à l’Etat central qui ne joue pas du tout son rôle. Les jeunes ont de la créativité mais n’obtiennent jamais ce qu’il faut pour travailler (financement, assistance technique). Les formations en entrepreneuriat ne dégagent pas l’effet chanté par nos dirigeants. Quant un projet est bon il est détourné et réalisé par un fortuné. Lorsque certains sont financés, ils se permettent des investissement hors projet et ne sont nullement inquiétés ; ce qui laisse entrevoir que même pour ce genre de financement (endettement de l’Etat), il faut encore ce que nous appelons couramment les "bras long". Conséquence, nous nous ruons tous sur les activités moribondes que les suceurs de la société laissent passer. Sans rancune ; celui qui ne me croit pas peut mener sa petite enquête et s’en rendra soit même compte. SOS.
C’est normal que l’activité ne marche plus comme avant !!! Les jeunes sont désemparés et foncent sur toute affaire qui semble donner sans aucune analyse. Je m’en prend à l’Etat central qui ne joue pas du tout son rôle. Les jeunes ont de la créativité mais n’obtiennent jamais ce qu’il faut pour travailler (financement, assistance technique). Les formations en entrepreneuriat ne dégagent pas l’effet chanté par nos dirigeants. Quant un projet est bon il est détourné et réalisé par un fortuné. Lorsque certains sont financés, ils se permettent des investissement hors projet et ne sont nullement inquiétés ; ce qui laisse entrevoir que même pour ce genre de financement (endettement de l’Etat), il faut encore ce que nous appelons couramment les "bras long". Conséquence, nous nous ruons tous sur les activités moribondes que les suceurs de la société laissent passer. Sans rancune ; celui qui ne me croit pas peut mener sa petite enquête et s’en rendra soit même compte. SOS.