On a beau changer de ministre de l’énergie cela ne changera pas parce que c’est un secteur ou il,faut de gros investissements et l’état burkinabé n’a pas les moyens. Le ministre de l’énergie n’applique que la politique énergétique du Burkina et ne dispose que des ressources qui lui sont affectées. La quadrature du cercle dans ce secteur est que le Burkina n’a pas beaucoup d’alternative : potentialités hydroélectrique insignifiant, non producteur de gaz ni de pétrole , pas gisement de charbon il ne reste que le solaire dont le coût d’installation est prohibitif. Seule un approvisionnement à partir des pays voisin qui ont des couts de production bas par le biais de l’interconnection permettra d’avoir de l’énergie en quantité suffisante et à des coût supportables pour le consommateur Burkinabé.
On a beau changer de ministre de l’énergie cela ne changera pas parce que c’est un secteur ou il,faut de gros investissements et l’état burkinabé n’a pas les moyens. Le ministre de l’énergie n’applique que la politique énergétique du Burkina et ne dispose que des ressources qui lui sont affectées. La quadrature du cercle dans ce secteur est que le Burkina n’a pas beaucoup d’alternative : potentialités hydroélectrique insignifiant, non producteur de gaz ni de pétrole , pas gisement de charbon il ne reste que le solaire dont le coût d’installation est prohibitif. Seule un approvisionnement à partir des pays voisin qui ont des couts de production bas par le biais de l’interconnection permettra d’avoir de l’énergie en quantité suffisante et à des coût supportables pour le consommateur Burkinabé.