Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Affrontement meurtrier entre deux communautés à Zabré : Un bilan officiel fait état de 7 morts
4 janvier 2013, 12:18, par
Zak Oued
Dans ce massacre tout comme les précédents les autorités portent grande part de responsabilité, en ce sens que l’impunité est garantie pour les criminels. Sous le falacieux pretexte qu’ils sont des autochtaunes, donc propriétaires des terres, les autorités administratives et judiciaires ne prennent absolument aucune action pour faire respecter les lois en vigueur. Dès le moment que les victimes sont des peuls, donc ne sont pas de cette région, on ne leur reconnait plus aucun droit. Ce sont des citoyens de seconde zone. La preuve est que dans ce récis on ne fait nullement question d’enquête, rien du côté du Procureur. Le Gouverneur de la région qui s’est rendu sur les lieux n’avait que pour seul objectif le retour des réfugiés dans leurs viallges. Il n’est pas question pour lui de parler des vicitimes, d’enquête de poursuites judiciaires, même pas une condamnation de tels actes. Préserver son poste à tout prix au moment oû un nouveau gouvernement vient de voir el jour est sans aucun doute son principal souci. Pauvre du Burkina, où allons nous ?
Dans ce massacre tout comme les précédents les autorités portent grande part de responsabilité, en ce sens que l’impunité est garantie pour les criminels. Sous le falacieux pretexte qu’ils sont des autochtaunes, donc propriétaires des terres, les autorités administratives et judiciaires ne prennent absolument aucune action pour faire respecter les lois en vigueur. Dès le moment que les victimes sont des peuls, donc ne sont pas de cette région, on ne leur reconnait plus aucun droit. Ce sont des citoyens de seconde zone. La preuve est que dans ce récis on ne fait nullement question d’enquête, rien du côté du Procureur. Le Gouverneur de la région qui s’est rendu sur les lieux n’avait que pour seul objectif le retour des réfugiés dans leurs viallges. Il n’est pas question pour lui de parler des vicitimes, d’enquête de poursuites judiciaires, même pas une condamnation de tels actes. Préserver son poste à tout prix au moment oû un nouveau gouvernement vient de voir el jour est sans aucun doute son principal souci. Pauvre du Burkina, où allons nous ?