Gouvernement Luc Adolphe TIAO III : Départ de l’ADF/RDA
3 janvier 2013, 16:19, par
Eric de Kouria
La gouvernance et les postes ministériels doivent cesser d´être le lieu où l´on case ses amis, ses copains ses maitresses ou ses rejetons. Ils doivent être le lieu où excellent les compétences humaines. Depuis 1987 on ne voit que les mêmes visages aux postes juteux de l´état. L´état Burkinabè et ses institutions sont devenus un dépositoire où l´on récompense ceux qui sont toujours du même avis que le chef. Ce gouvernement aurait pu être un gouvernement de technocrates sans aucune affiliation à un parti politique, de sorte que les reformes nécessaires puissent se faire au profit du peuple sans aucun calcul politicien. Mais au lieu de cela, on change les hommes de poste, et avec de l´ancien on veut faire du nouveau, tandis que l´essentiel du pouvoir est concentré dans les mains d´un seul individu, les finances étant bien gérées par un beau frère aux affaires depuis belle lurette. Et avec tout ce que nous savons, le Burkina est cité comme un exemple. Pauvres de nous !
La patrie ou la mort, nous reviendrons et nous vaincrons ! Soyez en sûrs !
La gouvernance et les postes ministériels doivent cesser d´être le lieu où l´on case ses amis, ses copains ses maitresses ou ses rejetons. Ils doivent être le lieu où excellent les compétences humaines. Depuis 1987 on ne voit que les mêmes visages aux postes juteux de l´état. L´état Burkinabè et ses institutions sont devenus un dépositoire où l´on récompense ceux qui sont toujours du même avis que le chef. Ce gouvernement aurait pu être un gouvernement de technocrates sans aucune affiliation à un parti politique, de sorte que les reformes nécessaires puissent se faire au profit du peuple sans aucun calcul politicien. Mais au lieu de cela, on change les hommes de poste, et avec de l´ancien on veut faire du nouveau, tandis que l´essentiel du pouvoir est concentré dans les mains d´un seul individu, les finances étant bien gérées par un beau frère aux affaires depuis belle lurette. Et avec tout ce que nous savons, le Burkina est cité comme un exemple. Pauvres de nous !
La patrie ou la mort, nous reviendrons et nous vaincrons ! Soyez en sûrs !