Réfugiés maliens au Burkina Faso : 50% de femmes enceintes sur les sites de Gandafabou et de Fererio
16 novembre 2012, 00:06, par
FITINI
Cela repon bien a l’adag ki di k la natur a horreur du vide.pa besoin d demander a ki profit cette honteuse situation k conai ces deplaces situation kil n’on jamais souhaiter ni imaginer 1 seul instan.ofrir ses service pr pouvoi survivr,cest domag !!
Cela repon bien a l’adag ki di k la natur a horreur du vide.pa besoin d demander a ki profit cette honteuse situation k conai ces deplaces situation kil n’on jamais souhaiter ni imaginer 1 seul instan.ofrir ses service pr pouvoi survivr,cest domag !!