Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Pouytenga : Voici comment le douanier a tué l’élève Moumouni
8 novembre 2012, 23:50, par
tièkadiyé
Pardon Pawanezambo ! Là là, tu es venu avec mensonge. Voilà pourquoi Placide a mis au gnouf votre collègue. Avant tout, le douanier est aussi le fils de quelqu’un, il faut le savoir.
M. le journaliste ne dit pas avec quel genre d’engin le douanier a poursuivi les jeunes (24 ans en 3e, comme à Kdg) qui ont reconnu qu’ils roulaient trop vite. De plus, je vous dis que c’est très facile de casser la jambe de quelqu’un, c’est pourquoi tous ceux qui font les arts martiaux sont paralysés. Tous. Ou bien ? Ces jeunes se sont arrêté au premier passage, pourquoi ils refusent au second ?
Non non, ton truc est trop grossier. Moi je connais ces gens de Pouytenga, ils se croient dans un pays à l’intérieur du BF. Une fois, en cours de voyage, nous avions été stoppés par des motos chargés de marchandises à Koupéla, il y’avait plus de cent motos qui se suivaient. Ils ont barré la route au niveau de Calipso pour ceux qui connaissent Koupéla. Je suis sûr que ce sont des fraudeurs. On les a suivis jusqu’à ce qu’ils tournent au carrefour, direction Pouytenga, et nous avons enfin pu circuler librement.
Pardon Pawanezambo ! Là là, tu es venu avec mensonge. Voilà pourquoi Placide a mis au gnouf votre collègue. Avant tout, le douanier est aussi le fils de quelqu’un, il faut le savoir.
M. le journaliste ne dit pas avec quel genre d’engin le douanier a poursuivi les jeunes (24 ans en 3e, comme à Kdg) qui ont reconnu qu’ils roulaient trop vite. De plus, je vous dis que c’est très facile de casser la jambe de quelqu’un, c’est pourquoi tous ceux qui font les arts martiaux sont paralysés. Tous. Ou bien ? Ces jeunes se sont arrêté au premier passage, pourquoi ils refusent au second ?
Non non, ton truc est trop grossier. Moi je connais ces gens de Pouytenga, ils se croient dans un pays à l’intérieur du BF. Une fois, en cours de voyage, nous avions été stoppés par des motos chargés de marchandises à Koupéla, il y’avait plus de cent motos qui se suivaient. Ils ont barré la route au niveau de Calipso pour ceux qui connaissent Koupéla. Je suis sûr que ce sont des fraudeurs. On les a suivis jusqu’à ce qu’ils tournent au carrefour, direction Pouytenga, et nous avons enfin pu circuler librement.
C’est la rançon de l’incivisme.