Ah ! Mes frères c’était la belle époque ! L’époque où l’on fredonnait des chansons revigorantes du genre :
Peuple du Burkina, comme un seul homme lève-toi et marche !
L’heure de la Révolution a sonné !
Dit non à l’impérialisme, à ses valets ! A l’exploitation, à l’oppression !
Retrouve ta fierté dans la liberté !
…
Eh oui comme quoi on peut tout salir ! Sauf la Mémoire !
SANKARA vivra, éternellement ! N’en déplaise à cette bande de longs nez aux oreilles roses qui pensent honteusement qu’en insérant son nom dans le Larousse c’est une ouverture à l’opprobre ! Mais pour nous c’est un plaisir de maîtriser la langue de l’ennemi ! On le comprend plus !
Ah ! Mes frères c’était la belle époque ! L’époque où l’on fredonnait des chansons revigorantes du genre :
Peuple du Burkina, comme un seul homme lève-toi et marche !
L’heure de la Révolution a sonné !
Dit non à l’impérialisme, à ses valets ! A l’exploitation, à l’oppression !
Retrouve ta fierté dans la liberté !
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Eh oui comme quoi on peut tout salir ! Sauf la Mémoire !
SANKARA vivra, éternellement ! N’en déplaise à cette bande de longs nez aux oreilles roses qui pensent honteusement qu’en insérant son nom dans le Larousse c’est une ouverture à l’opprobre ! Mais pour nous c’est un plaisir de maîtriser la langue de l’ennemi ! On le comprend plus !