Merci pour votre contribution. Je félicite la journaliste pour son thème. C’est une réalité qu’il ne faut pas négliger. Nos chères sœurs qui ne sont pas encore rentrées dans le foyer en souffrent sérieusement à cause de la pression de la société et ce n’est pas du tout facile.Elles sont des fois obligées de se cacher, de rester dans les coins pour éviter d’être frustrées. Un exemple, si vous êtes entre groupe d’amies, rien que les salutations diffèrent. Il faut passer par la pour comprendre qu’au Faso, même si les mentalités évoluent, il reste encore beaucoup à faire dans ce sens.
Merci pour votre contribution. Je félicite la journaliste pour son thème. C’est une réalité qu’il ne faut pas négliger. Nos chères sœurs qui ne sont pas encore rentrées dans le foyer en souffrent sérieusement à cause de la pression de la société et ce n’est pas du tout facile.Elles sont des fois obligées de se cacher, de rester dans les coins pour éviter d’être frustrées. Un exemple, si vous êtes entre groupe d’amies, rien que les salutations diffèrent. Il faut passer par la pour comprendre qu’au Faso, même si les mentalités évoluent, il reste encore beaucoup à faire dans ce sens.