Situation à l’Université de Koudougou : Le ministre Moussa OUATTARA joue la médiation
23 octobre 2012, 10:14, par
Wenaam Soongdo
Je pense que la situation qui prévaut dans nos universités en particulier celle de KOUDOUGOU mérite une analyse profonde. Moi je pense que cette situation a été préparée et mûrie et vise à casser de l’étudiant. Si vous vous rappelez, pendant la crise de 2011, ce sont les étudiants qui étaient les meneurs de la lutte. Et cela le régime ne peut pas les pardonner, eux qui ont fait vaciller le régime. Pour parer à toute situation pareille et pour punir ces empêcheurs de tourner en rond, un décret a été pris, le décret N°2012-646/PRES/PM/MESS du 24 juillet 2012 portant régime disciplinaire applicable aux étudiants et aux candidats aux examens et concours organisés par les universités publiques du Burkina Faso. Cet décret visait dans un premier temps les étudiants frondeurs de l’UK si nous regardons sa date de signature. A cette date, le bras de fer était déjà engagé entre les autorités de l’université et les étudiants. Les étudiants n’ont pas été vigilants et sont tombés dans le piège en ne rejetant pas ce décret ; voilà qu’ils récoltent les pots cassés. Puisque les sanctions sont conformes à ce décret. A ce stade, chacun devrait jouer à l’apaisement pour sauver l’année. Après les deux parties peuvent concevoir des textes consensuels pour le bon fonctionnement de nos universités.
Je pense que la situation qui prévaut dans nos universités en particulier celle de KOUDOUGOU mérite une analyse profonde. Moi je pense que cette situation a été préparée et mûrie et vise à casser de l’étudiant. Si vous vous rappelez, pendant la crise de 2011, ce sont les étudiants qui étaient les meneurs de la lutte. Et cela le régime ne peut pas les pardonner, eux qui ont fait vaciller le régime. Pour parer à toute situation pareille et pour punir ces empêcheurs de tourner en rond, un décret a été pris, le décret N°2012-646/PRES/PM/MESS du 24 juillet 2012 portant régime disciplinaire applicable aux étudiants et aux candidats aux examens et concours organisés par les universités publiques du Burkina Faso. Cet décret visait dans un premier temps les étudiants frondeurs de l’UK si nous regardons sa date de signature. A cette date, le bras de fer était déjà engagé entre les autorités de l’université et les étudiants. Les étudiants n’ont pas été vigilants et sont tombés dans le piège en ne rejetant pas ce décret ; voilà qu’ils récoltent les pots cassés. Puisque les sanctions sont conformes à ce décret. A ce stade, chacun devrait jouer à l’apaisement pour sauver l’année. Après les deux parties peuvent concevoir des textes consensuels pour le bon fonctionnement de nos universités.