Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Passation de charge à l’Université de Ouagadougou : Karifa Bayo à la rescousse du « Temple du savoir »
17 octobre 2012, 12:41
Salut à tous,
Voyez c’est ça le problème de notre pays. Personne ne veut dire la vérité. Pr. Kabré reconnait maintenant qu’il y a un sérieux problèmes d’infrastructures. Et c’est cela qui cause tous les remous dans les universités. Il faut avoir le courage de poser les problèmes de nos universités. Il ne sert à rien de vouloir diaboliser l’ANEB. Si c’était l’ANEB qui le disait, elle l’a toujours dénoncé d’ailleurs, il faut un véritable plan pour nos universités. Dans ce pays, un autre problème, on refléchit pas beaucoup sinon, les gens auraient compris depuis un bout de temps que le role du privé est de soutenir l’Etat et non le remplacer. Mais on a rien compris. Bon, nos décideurs publiques ont raison :
parmi eux, il y a ceux qui sont de bonne foi mais non rien compris dans l’enjeu de la situation actuelle et il y a ceux qui ont bien compris mais ont entrepris de tirer parti en étant actionnaire dans les instituts et universités privés. La cupidité a été poussée si loin que de plus en plus , avec le soutien des enseignants du Public, on refuse de créer des filières à l’université publique pour aller en créer dans le privé. C’est le business !
Salut à tous,
Voyez c’est ça le problème de notre pays. Personne ne veut dire la vérité. Pr. Kabré reconnait maintenant qu’il y a un sérieux problèmes d’infrastructures. Et c’est cela qui cause tous les remous dans les universités. Il faut avoir le courage de poser les problèmes de nos universités. Il ne sert à rien de vouloir diaboliser l’ANEB. Si c’était l’ANEB qui le disait, elle l’a toujours dénoncé d’ailleurs, il faut un véritable plan pour nos universités. Dans ce pays, un autre problème, on refléchit pas beaucoup sinon, les gens auraient compris depuis un bout de temps que le role du privé est de soutenir l’Etat et non le remplacer. Mais on a rien compris. Bon, nos décideurs publiques ont raison :
parmi eux, il y a ceux qui sont de bonne foi mais non rien compris dans l’enjeu de la situation actuelle et il y a ceux qui ont bien compris mais ont entrepris de tirer parti en étant actionnaire dans les instituts et universités privés. La cupidité a été poussée si loin que de plus en plus , avec le soutien des enseignants du Public, on refuse de créer des filières à l’université publique pour aller en créer dans le privé. C’est le business !