Enquête : Saré Peulh/ Un autre visage du conflit éleveurs-agriculteurs
17 août 2012, 10:19, par
Kelguinka
Chers lecteurs, j’ai froid au dos quand je parcours des écris comme ceux-ci. Où allons nous ? Le Burkina jadis havre de paix et d’entente parfaite entre communauté bascule de jour en jour dans la violence et surtout celle communautaire.Nous devons ouvrir le bon oeil comme on aime le dire sans quoi nous courons un grand risque de troubles communautaires. Même si je n’attribue pas cette situation au simple fait des politiciens, il est très difficile de les dédouaner car, on peut certes aller au village pour mobiliser ses potentiels électeurs autour de l’enrôlement biométrique mais jamais on ne se donne la peine de préserver la cohésion au sein de la population. Les lecteurs pourront le confirmer car tous nous avons assisté souvent malheureusement à des situations de conflits entre communauté où soi le politicien demeure passif pour sauvegarder ses intérêts égoïstes soi celui pousse ses sympatisants à passer à l’acte. Chers compatriotes, laissons les nafiguis dans leurs namaras et entendons nous. N’est ce pas au faso que certains de nos frères et soeurs du Rwanda sont venus demander asile suite à la crise que ce pays a connu ? Soyons raisonnable car notre pays est riche en harmonie. Copions ce qui nous enrichie et non les mauvais exemples.
Chers lecteurs, j’ai froid au dos quand je parcours des écris comme ceux-ci. Où allons nous ? Le Burkina jadis havre de paix et d’entente parfaite entre communauté bascule de jour en jour dans la violence et surtout celle communautaire.Nous devons ouvrir le bon oeil comme on aime le dire sans quoi nous courons un grand risque de troubles communautaires. Même si je n’attribue pas cette situation au simple fait des politiciens, il est très difficile de les dédouaner car, on peut certes aller au village pour mobiliser ses potentiels électeurs autour de l’enrôlement biométrique mais jamais on ne se donne la peine de préserver la cohésion au sein de la population. Les lecteurs pourront le confirmer car tous nous avons assisté souvent malheureusement à des situations de conflits entre communauté où soi le politicien demeure passif pour sauvegarder ses intérêts égoïstes soi celui pousse ses sympatisants à passer à l’acte. Chers compatriotes, laissons les nafiguis dans leurs namaras et entendons nous. N’est ce pas au faso que certains de nos frères et soeurs du Rwanda sont venus demander asile suite à la crise que ce pays a connu ? Soyons raisonnable car notre pays est riche en harmonie. Copions ce qui nous enrichie et non les mauvais exemples.