Le problème ce n’est ni les peulhs, ni les lobis, ni le mossés, ni aucune autre ethnie. Le problème c’est le manque de confiance en notre justice. Que ce soit au Burkina ou ailleurs, les peuples n’abandonnent la loi du talion que quand il y a une institution capable de rendre correctement justice. Au Burkina, la justice a pendant longtemps été inactive ou injuste. Les gens ne comptent donc maintenant que sur eux mêmes. Nos autorités passent leur temps à dire de faire confiance à la justice. Mais il faut plus que des mots pour convaincre les burkinabè car, ils ont trop subis l’injustice. En plus, il faut savoir que la confiance, ça se mérite.
Je n’approuve pas pour autant les actes de violence aveugle qui ont lieu à Gaoua. Je me dis que même si on veut se rendre justice soi même, il faut savoir faire preuve de discernement.
Le problème ce n’est ni les peulhs, ni les lobis, ni le mossés, ni aucune autre ethnie. Le problème c’est le manque de confiance en notre justice. Que ce soit au Burkina ou ailleurs, les peuples n’abandonnent la loi du talion que quand il y a une institution capable de rendre correctement justice. Au Burkina, la justice a pendant longtemps été inactive ou injuste. Les gens ne comptent donc maintenant que sur eux mêmes. Nos autorités passent leur temps à dire de faire confiance à la justice. Mais il faut plus que des mots pour convaincre les burkinabè car, ils ont trop subis l’injustice. En plus, il faut savoir que la confiance, ça se mérite.
Je n’approuve pas pour autant les actes de violence aveugle qui ont lieu à Gaoua. Je me dis que même si on veut se rendre justice soi même, il faut savoir faire preuve de discernement.