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ISLAM : Des droits de la femme reconnus

10 août 2012, 10:46, par le fer

Après ces quelques versets coraniques qui considèrent la femme comme un être inférieur, voyons les hadiths qui lui ordonnent de rester au foyer, d’être aux ordres de son mari en lui obéissant aveuglément (une totale soumission, car c’est une obligation religieuse) pour lui assurer une existence tranquille.
Ainsi Mahomet avait dit :

« Si j’avais eu à donner de se prosterner devant quelqu’un d’autre que Dieu, j’aurais sûrement ordonné aux femmes de se prosterner devant leur mari. Une femme ne peut pas remplir ses devoirs envers Dieu sans avoir accompli ceux qu’elle doit à son mari. »

« Une femme qui meurt et dont le mari a été satisfait, ira au paradis. »

« Une femme ne doit jamais se refuser à son mari, même si c’est sur la selle d’un chameau. »

« L’enfer m’apparut en rêve et je remarquais qu’il y avait surtout des femmes qui n’avaient pas été reconnaissantes. » Était-ce envers Allah qu’elles n’avaient pas été reconnaissantes ? » Elles n’avaient pas montré la moindre gratitude envers leur époux pour tout ce qu’elles avaient reçu de lui. Même quand durant toute une vie vous avez comblé votre femme de largesses, elle trouvera quelque chose d’insignifiant à vous reprocher et un jour elle dira : tu n’as jamais rien fait pour moi. »

« Si quelque chose peut être de mauvais augure, c’est certainement une maison, une femme, un cheval. »

« Un homme ne connaîtra jamais de succès s’il confie ses affaires à une femme. »

« Manipulez les vases ( les femmes) avec précaution. »

« Mieux vaut être éclaboussé par un cochon que d’être effleuré par le coude d’une femme qui est défendue. »

 » Trois choses peuvent interrompre la prière si elles viennent à passer devant l’orant : un chien noir, une femme, un âne. »

Mahomet avait dit aussi :

« Je ne touche jamais la main des femmes qui ne m’appartient pas. » Et c’est à cause de ce dernier hadith que de nombreux musulmans pieux refusent de serrer la main des femmes et notamment les intégristes ( les fondamentalistes femmes agissent de la même manière.)

L’islam considère la femme comme un être impur, qui n’est pas douée de raison et encore moins de foi. Finalement, la culture musulmane est profondément antiféministe.

N’est-ce pas le deuxième calife bien guidé Omar qui avait dit :

« Empêche les femmes d’apprendre à écrire. Dis non à leurs caprices.
Adoptez une attitude opposée à celles des femmes. Il y a grand mérite en cela.
Imposez la nudité aux femmes parce que les vêtements leur permettent de quitter la maison, d’assister aux mariages ou d’apparaître en public à des cérémonies ou à des réunions. Quand une femme sort fréquemment, elle risque de rencontrer un autre homme et de le trouver attirant, même s’il est moins séduisant que son mari, car elle est attirée et distraite par tout ce qu’elle ne possède pas. »

Et Ali le quatrième calife bien guidé, gendre et cousin du prophète que les Chiites considèrent comme son héritier spirituel, avait dit aussi :
« Toute la femme est maléfique et le pire c’est un mal nécessaire.
Vous ne devez jamais demander conseil aux femmes parce que leurs avis ne valent rien. Cachez-les pour qu’elles ne puissent pas voir d’autres hommes. Ne passez pas trop de temps en leur compagnie, car elles vous conduiraient à la perte.

Hommes, n’obéissez jamais à vos femmes. Ne les laissez jamais vous donner un conseil sur un quelconque problème de la vie quotidienne. Si vous les laissez faire, elles dilapideront tous vos biens, et elles désobéiront à tous vos ordres et à tous vos désirs. Quand elles sont livrées à elles-mêmes, elles oublient la religion et ne pensent qu’à elles. Dès qu’il s’agit de leurs désirs charnels, elles sont sans pitié ni vertu. Il est facile de prendre plaisir avec elles, mais elles vous le feront payer chèrement. Même la plus vertueuse a la vertu facile et les plus corrompus sont les putains. L’âge ne leur épargne aucun vice. Elles ont trois qualités qui sont dignes d’un mécréant : elles se plaignent d’être opprimées quand en fait ce sont elles qui oppriment, elles jurent solennellement et mentent en même temps ; elles s’offusquent des avances que leur font les hommes en les désirant avec ardeur. Dieu qu’Il nous délivre de leur sorcellerie. »

Il est utile, Mesdames, de vous rappeler que vous devez vous voiler( mettez de préférence la BURQUA) avant de parler de l’islam mais aussi de lire attentivement le coran et les hadiths. Ainsi vous allez nous expliquer comme l’islam traite l’apostat, le mécréant, le juif, le chrétien, la violence du djihad, et comment il a codifié l’esclavage et diabolisé la femme.

Mesdames, si par hasard, vous allez refuser d’admettre l’authenticité de ces versets et de ces hadiths, vous n’avez plus le droit de dire que vous êtes musulmanes, à moins d’exiger des théologiens de les abroger et dans ce cas, il n’y aurait plus de coran, donc plus d’islam. A vous de choisir…
Et ce n’est pas demain que la lumière de la liberté brillera sur les femmes en terre d’islam, elles seront pour longtemps encore sous le joug des salafistes qui suivent pas à pas le beau modèle de Médine…

Dans la sourate le divorce 65 verset 4, il est écrit : » Si vous avez des doutes ( de la période d’attente) de vos femmes qui n’espèrent plus avoir des règles,leur délai est de trois mois. De même pour celles qui n’ont pas encore de règles. Et quand à celles qui sont enceintes, leur période d’attente se terminera à leur accouchement. Quiconque craint Allah cependant, Il lui facilite les choses. »

Ce verset m’a bouleversé… Pouvez-vous éclairer ma petite cervelle d’ignorant, Mesdames ?
Alors j’ai fait des efforts pour interpréter ce verset. Et j’ai déduit :
Les femmes qui n’ont plus de règles, sont les ménopausées.
Les femmes enceintes, c’est facile à comprendre.
Mais celles qui n’ont pas encore les règles, on doit les appeler comment ?

Comme j’étais indécis, j’ai plongé mes yeux dans les livres de l’imam Chaffaï, de l’imam Tabari et de l’imam Ibn Kathir et les trois théologiens confirment ce que j’ai refusé d’admettre dans mon tréfonds et à mon corps défendant. En effet, il est permis à un musulman quel que soit son âge de prendre pour épouse une fille qui n’a pas atteint l’âge de la puberté, et pour cela, il lui suffit de lui payer le mahr avant la consommation du nikah ( le nikah est le contrat par lequel les organes sexuels de la femme deviennent la propriété de son mari qui peut en disposer à sa guise). Et ces trois imams fixent l’âge légal du mariage à six ans. Mesdames, ces imams ont suivi pas à pas Mahomet qui s’était fiancé avec Aicha, qui n’avait que six ans.

Ce verset est un verset médinois et par conséquent, il n’est pas frappé d’abrogation, et il est confirmé par Obbay Ibn El Kaâb, compagnon du prophète selon Tabari.

Quelle définition peut-on attribuer à ce mariage institué par le coran, Mesdames ?
Je laisse les lecteurs de FASONET donner la définition adéquate.
Islam religion d’amour, dites-vous ? Je n’en suis pas certain.
De grâce, Mesdames, arrêtez de faire de l’enfumage pour brouiller les pistes, quittez votre univers doré durant quelques jours, et faîtes un tour dans les contrées reculées d’Afghanistan, du Pakistan, du Yémen, du Soudan, de l’Iran, de l’Arabie Saoudite berceau de la religion liberté que vous défendez, de la Somalie et bien d’autres pays musulmans et vous verrez de visu le vrai islam qui méprise et exploite la femme.
Et pourtant, vous êtes des femmes ???

*L’imam Chaffaï est le fondateur de l’une des quatre écoles du sunnisme et l’imam Tabari est la référence pour l’interprétation du coran et des hadiths.


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