Lutte contre la vie chère : « Fini le temps de grâce de Luc Adolphe Tiao »
8 mai 2012, 10:48, par
Jean Merier
Les gars, les temps sont devenus ainsi. Crise partout dans le monde. Il faut savoir prendre des initiatives qui amoindrissent le cout de la vie. Le rythme de vie actuel des Burkinabe ne peut donner autres conséquences que ce que nous vivons.
Pourquoi jusqu’aujourd’hui, aucun syndicat, aucune organisation civile, aucun gouvernant, député...n’a soulevé le débat sur l’institution de la journée continue ? C’est par exemple une mesure sur laquelle il convient de réfléchir et de faire des choix difficiles au départ, mais qui porteront leurs fruits des que les gens vont rentrer dans le rythme.
Les gars, les temps sont devenus ainsi. Crise partout dans le monde. Il faut savoir prendre des initiatives qui amoindrissent le cout de la vie. Le rythme de vie actuel des Burkinabe ne peut donner autres conséquences que ce que nous vivons.
Pourquoi jusqu’aujourd’hui, aucun syndicat, aucune organisation civile, aucun gouvernant, député...n’a soulevé le débat sur l’institution de la journée continue ? C’est par exemple une mesure sur laquelle il convient de réfléchir et de faire des choix difficiles au départ, mais qui porteront leurs fruits des que les gens vont rentrer dans le rythme.