An 1 du gouvernement Tiao : « Il y a matière à satisfaction mais… »
25 avril 2012, 13:11, par
oumar
La fierté d’être burkinabe ne se traduit pas uniquement par des félicitations ou l’acceptation de mitigés bilans que nous dressent nos gouvernants mais aussi et surtout par une lecture critique de ces bilans.Ne nous contentons pas du calme apparent pour dire que la paix est revenu, les causes réelles de la crise existent elles ? ont elles disparues ?ou sont telles atténuées ?Nous sommes unanimes que les burkinabé vivent péniblement,les pseudo mesures de lutte contre la vie chère sont aux oubliettes,le quotidien du burkinabe moyen est devenu plus dur crise alimentaire oblige,le problème n’est pas tertus ou tiao mais le système dans sa totalité.Nos dirigeants ont échoué disons le leur,nous devons repartir sur de nouvelles bases avec une nouvelle classe dirigeante si nous voulons manger a notre faim à la sueur de notre front.
La fierté d’être burkinabe ne se traduit pas uniquement par des félicitations ou l’acceptation de mitigés bilans que nous dressent nos gouvernants mais aussi et surtout par une lecture critique de ces bilans.Ne nous contentons pas du calme apparent pour dire que la paix est revenu, les causes réelles de la crise existent elles ? ont elles disparues ?ou sont telles atténuées ?Nous sommes unanimes que les burkinabé vivent péniblement,les pseudo mesures de lutte contre la vie chère sont aux oubliettes,le quotidien du burkinabe moyen est devenu plus dur crise alimentaire oblige,le problème n’est pas tertus ou tiao mais le système dans sa totalité.Nos dirigeants ont échoué disons le leur,nous devons repartir sur de nouvelles bases avec une nouvelle classe dirigeante si nous voulons manger a notre faim à la sueur de notre front.