Tout ça , c’est avant même que l’administration n’ait fait un bout de papier sur un statut quelconque de la chefferie traditionnelle.Le pire reste à venir quand l’administration va reconnaître officiellement et donner un statut aux chefs cotumiers. Pendant la révolution, nos coutumiers avaient le bonnet sous l’aiselle (la discrétion) et la pelle (pour construire le pays) à la place de la canne à marcher. C’était peut-être mieux ainsi.
Tout ça , c’est avant même que l’administration n’ait fait un bout de papier sur un statut quelconque de la chefferie traditionnelle.Le pire reste à venir quand l’administration va reconnaître officiellement et donner un statut aux chefs cotumiers. Pendant la révolution, nos coutumiers avaient le bonnet sous l’aiselle (la discrétion) et la pelle (pour construire le pays) à la place de la canne à marcher. C’était peut-être mieux ainsi.