Etablissements privés d’enseignement supérieur au Burkina : La face et l’envers de la médaille
8 février 2012, 12:01, par
estvrai
De notre temps le succès était l’exception, aujourd’hui et surtout dans ces écoles c’est l’échec qui est l’exception ; tant qu’on paie il n’y a pas de raison de ne pas réussir. Qu’on ne soit guère étonné de la valeur douteuse des diplômes, mais si pour tous, une licence = une licence, vivement que les anciens débarrassent le plancher.
De notre temps le succès était l’exception, aujourd’hui et surtout dans ces écoles c’est l’échec qui est l’exception ; tant qu’on paie il n’y a pas de raison de ne pas réussir. Qu’on ne soit guère étonné de la valeur douteuse des diplômes, mais si pour tous, une licence = une licence, vivement que les anciens débarrassent le plancher.