Si le gendarme n’a effectivement rien fait d’autre qu’administré une simple gifle à l’élève ; je pense que son acte est à la frontière entre l’acceptable et l’inacceptable. Personnellement, je choisi d’accepter ce geste. Il est fort possible que le refuse de l’élève a frôler la désobéissance à l’autorité qu’est le gendarme. n’oublions pas ce proverbe qui dit : "si tu épargne ton enfant du fouet tu le gates". Sauf s’il y a un autre abus. sinon, chers élèves, acceptons cette gifle qui indique que nous devons pas chercher à l’abri de tout fouet. De nos jours, les sociétés où l’on ne peut plus administré de châtiment corporels aux enfants, sont aussi restées dans l’incapacité d’administrer même une correction verbale à ces mêmes enfants et actuellement, les "enfants rois" de ces sociétés leur causent toutes sortes d’ennuis. Ne copions pas leur erreurs. Nous ont été plus que giflé et on n’a rien perdu de notre dignité.
Si le gendarme n’a effectivement rien fait d’autre qu’administré une simple gifle à l’élève ; je pense que son acte est à la frontière entre l’acceptable et l’inacceptable. Personnellement, je choisi d’accepter ce geste. Il est fort possible que le refuse de l’élève a frôler la désobéissance à l’autorité qu’est le gendarme. n’oublions pas ce proverbe qui dit : "si tu épargne ton enfant du fouet tu le gates". Sauf s’il y a un autre abus. sinon, chers élèves, acceptons cette gifle qui indique que nous devons pas chercher à l’abri de tout fouet. De nos jours, les sociétés où l’on ne peut plus administré de châtiment corporels aux enfants, sont aussi restées dans l’incapacité d’administrer même une correction verbale à ces mêmes enfants et actuellement, les "enfants rois" de ces sociétés leur causent toutes sortes d’ennuis. Ne copions pas leur erreurs. Nous ont été plus que giflé et on n’a rien perdu de notre dignité.