Burkina Faso : A Ouagadougou, l’affaire Ousmane Guiro développe ses miasmes
10 janvier 2012, 13:01
Tu as raison. Sankara, Sankara. Le pays existait avant lui. Même si on regrette la révolution, il est parti chez son Créateur. A nous ne nous montrer dignes de lui.
Tu as raison. Sankara, Sankara. Le pays existait avant lui. Même si on regrette la révolution, il est parti chez son Créateur. A nous ne nous montrer dignes de lui.