ASSISES CRIMINELLES DE GAOUA : Deux accusés condamnés à mort
22 décembre 2011, 11:30, par
carleiss
La peine de mort
est une négation du droit universellement reconnu à la vie
est une peine définitive, cruelle, inhumaine et dégradante, non moins abominable que la torture
est impuissante à combattre la violence, et qu’elle est en réalité une légitimation de la violence la plus totale, celle qui consiste à supprimer la vie humaine au niveau des États et de la société
déshumanise notre monde, en donnant la primauté aux représailles et à la violence, tout en éliminant les aspects de clémence, pardon et réhabilitation qui existent dans le système de la Justice
retire la vie, un bien qu’on ne peut restituer en cas d’erreur humaine.
Nous invitons tous les hommes et les femmes, y compris ceux ou celles qui ont soutenu jusqu’à présent le recours légitime à la peine de mort, à réfléchir posément à la nécessité de suspendre les exécutions et de lancer le processus conduisant à l’abolition de la peine de mort, conformément à la recommandation contenue dans le Premier Rapport du Secrétaire Général de l’ONU, le 15 août 2008.
La peine de mort
est une négation du droit universellement reconnu à la vie
est une peine définitive, cruelle, inhumaine et dégradante, non moins abominable que la torture
est impuissante à combattre la violence, et qu’elle est en réalité une légitimation de la violence la plus totale, celle qui consiste à supprimer la vie humaine au niveau des États et de la société
déshumanise notre monde, en donnant la primauté aux représailles et à la violence, tout en éliminant les aspects de clémence, pardon et réhabilitation qui existent dans le système de la Justice
retire la vie, un bien qu’on ne peut restituer en cas d’erreur humaine.
Nous invitons tous les hommes et les femmes, y compris ceux ou celles qui ont soutenu jusqu’à présent le recours légitime à la peine de mort, à réfléchir posément à la nécessité de suspendre les exécutions et de lancer le processus conduisant à l’abolition de la peine de mort, conformément à la recommandation contenue dans le Premier Rapport du Secrétaire Général de l’ONU, le 15 août 2008.