TRAFIC DES ENFANTS : 12 mineures interceptées à Kongoussi
29 novembre 2011, 12:40, par
Levent
Il faut qu’on fasse attention à la question du trafic des enfants. Ces filles partent chercher leurs pitances, une fois la saison agricole terminée. Cela s’explique par le fait qu’en campagne rien ne leur ai proposé comme de revenus. C’est pareils pour ces nombreuses scolarisées âgées de 10 à 16 ans, voire plus qui circulent dans la ville de Ouaga, le jour comme la nuit, pour vendre des arachides, des œufs, des bananes, etc. Elles le font pour pouvoir assurer leur scolarité pendant l’année scolaire.
Cherchez à régulariser la filière d’exploitation des jeunes filles et adolescentes comme bonne afin d’identifier les abus et les sanctionner et non pas vouloir mettre un terme à la migration de travail saisonnier de ces enfants. Il faut formaliser le secteur pour éviter les dérives.
N’oublions pas que déjà à 6 ans le jeune garçon ou la jeune fille commence à travailler à la maison.
Ce n’est pas parce que des programmes finances la lutte contre le trafic et la traite des enfants que nous ne devrions pas tenir compte de nos réalités socio-culturelles.
Il faut qu’on fasse attention à la question du trafic des enfants. Ces filles partent chercher leurs pitances, une fois la saison agricole terminée. Cela s’explique par le fait qu’en campagne rien ne leur ai proposé comme de revenus. C’est pareils pour ces nombreuses scolarisées âgées de 10 à 16 ans, voire plus qui circulent dans la ville de Ouaga, le jour comme la nuit, pour vendre des arachides, des œufs, des bananes, etc. Elles le font pour pouvoir assurer leur scolarité pendant l’année scolaire.
Cherchez à régulariser la filière d’exploitation des jeunes filles et adolescentes comme bonne afin d’identifier les abus et les sanctionner et non pas vouloir mettre un terme à la migration de travail saisonnier de ces enfants. Il faut formaliser le secteur pour éviter les dérives.
N’oublions pas que déjà à 6 ans le jeune garçon ou la jeune fille commence à travailler à la maison.
Ce n’est pas parce que des programmes finances la lutte contre le trafic et la traite des enfants que nous ne devrions pas tenir compte de nos réalités socio-culturelles.