Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Ouagadougou : Les cours perturbés dans les établissements scolaires
30 novembre 2011, 12:20, par
Queen
Je pense qu’il ne faut pas encourager les élève dans cette action en particulier ; car ce qui s’est passé à Sainte Colette pouvait se gérer entre les élèves dudit établissement et leur direction ! les grève doivent être circonscrites : il y a des grèves qui n’engagent qu’un établissement ; d’autre une circonscription et d’autres encore tout une ville ; il faut savoir faire la part des choses. J’étais vraiment triste de voir passer devant moi des enfant qui ne savent même pas de quoi il s’agit, tenant des pierre à la main criant, "libérez ! libérez !" voulant allez faire sortir les enfants d’une école maternelle non loin de mon service ! Est-ce là notre désir ? C’est bien d’être content de voir le vent tourner, que ceux d’en haut puisse avoir peur, mais pas à n’importe quel prix ? on ne doit pas cautionner n’importe quelle action sous prétexte qu’on est content de voir frémir nos dirigeants !
Je pense qu’il ne faut pas encourager les élève dans cette action en particulier ; car ce qui s’est passé à Sainte Colette pouvait se gérer entre les élèves dudit établissement et leur direction ! les grève doivent être circonscrites : il y a des grèves qui n’engagent qu’un établissement ; d’autre une circonscription et d’autres encore tout une ville ; il faut savoir faire la part des choses. J’étais vraiment triste de voir passer devant moi des enfant qui ne savent même pas de quoi il s’agit, tenant des pierre à la main criant, "libérez ! libérez !" voulant allez faire sortir les enfants d’une école maternelle non loin de mon service ! Est-ce là notre désir ? C’est bien d’être content de voir le vent tourner, que ceux d’en haut puisse avoir peur, mais pas à n’importe quel prix ? on ne doit pas cautionner n’importe quelle action sous prétexte qu’on est content de voir frémir nos dirigeants !