Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Il faut le dire : Dure est la vie du fonctionnaire burkinabè
23 novembre 2011, 16:43, par
lejeune
Merci pour l’article. Le problème serait bien perçu si on demandait l’indexation du salaire sur le cout de la vie, car n’oublions pas que c’est a partir du smig que le salaire se construit. Or notre smig date des année 40. Ce smig ne prévoit pas les soins assurés par le salarié,le logement ,les enfants, l’électricité,l’eau courante payés et j’en passe.Or en prenant les éléments suivants pour le calcul du minimum vital on se rendrait compte qu’on est loin :
— le manger pour minimum 6 personne. A ce niveau je rentre pas dans les quantité des valeurs nutritives(viande, céréale,légume...)
— la santé cout des carge de santé aujourd’hui.(avant la santé si on peut dire était gratuite)
— le logement (on était suppose ètre chez ses parents)
— eau et électricité(la lampe luciole suffisait et l’eau de puit faisait l’affaire)
— L’habillement (deux culottes en cotonnade et deux chemises suffisaient)
— scolarisation (l’école était gratuite et il y avait l’internat ou la bourse jusqu’au supérieur.beaucoup de ceux qui gouverne en on profité)
— le déplacement (c’est un problème qui ne se posait pas . on était de gentil petit nègre)
etc etc etc...
En évaluant ces aspect non suffisant peut ètre on pourra dégager le minimum vital pour que le salarier soit bien dans sa peau et dans sa tète pour un meilleur rendement en laissant de coté le vol le détournement... car tous veulent ètre honnètes.
Voila le fond à mon avis de la petitesse du salaire du burkinabè. Or tant que ceux qui consomme n’ont pas les moyens de consommer c’est tout le système économique qui prend un coup.
Merci pour l’article. Le problème serait bien perçu si on demandait l’indexation du salaire sur le cout de la vie, car n’oublions pas que c’est a partir du smig que le salaire se construit. Or notre smig date des année 40. Ce smig ne prévoit pas les soins assurés par le salarié,le logement ,les enfants, l’électricité,l’eau courante payés et j’en passe.Or en prenant les éléments suivants pour le calcul du minimum vital on se rendrait compte qu’on est loin :
— le manger pour minimum 6 personne. A ce niveau je rentre pas dans les quantité des valeurs nutritives(viande, céréale,légume...)
— la santé cout des carge de santé aujourd’hui.(avant la santé si on peut dire était gratuite)
— le logement (on était suppose ètre chez ses parents)
— eau et électricité(la lampe luciole suffisait et l’eau de puit faisait l’affaire)
— L’habillement (deux culottes en cotonnade et deux chemises suffisaient)
— scolarisation (l’école était gratuite et il y avait l’internat ou la bourse jusqu’au supérieur.beaucoup de ceux qui gouverne en on profité)
— le déplacement (c’est un problème qui ne se posait pas . on était de gentil petit nègre)
etc etc etc...
En évaluant ces aspect non suffisant peut ètre on pourra dégager le minimum vital pour que le salarier soit bien dans sa peau et dans sa tète pour un meilleur rendement en laissant de coté le vol le détournement... car tous veulent ètre honnètes.
Voila le fond à mon avis de la petitesse du salaire du burkinabè. Or tant que ceux qui consomme n’ont pas les moyens de consommer c’est tout le système économique qui prend un coup.