Rentrée syndicale de l’UGEB : Un plaidoyer pour de meilleures conditions de vie et d’études
14 novembre 2011, 20:44, par
Medes
"Aujourd’hui hui l’étudiant est inscrit pour passer plus de temps au restaurant qu en classe" avait dit un conférencier.Les enseignants sont surpris de voir les salles se vider à partir d une certaine heure(surtout vers 10h,puis vers 17). Si tu ne fais pas cela tu seras à jeun.Juste cet exemple de besoin vital parmi tant d autres pour illustrer les conditions exécrables.
Actuellement c’est le problème du système LMD que personne ne maitrise !Un système qui exige plus d enseignants,de salles de cours,de documentation à jour,d internet,....Rien de tout cela n est fait mais il faut y aller car les plus grandes nations y sont et tout le monde y entre,mais comment ?
On nous fait croire que les effectifs des étudiants sont pléthoriques ;un petit calcul:il y a environ 6OOOO étudiants sur une population du Burkina estimée à 16000000,ce qui fait à peine 0,4% de la population.A moins que ce ne soit de la mauvaise foie de l’État de se réfugier sur des pseudo arguments,où est la pléthore d étudiant,ou encore à moins que l on ne veuille pas former sa jeunesse,et ce n est pas loin de cela.
Adaptez les infrastructures et moyens au nombre et non le contraire ! Aux étudiants de renforcer les luttes en attendant une autre ère" d’État providence",un État du Peuple et pour le Peuple !
"Aujourd’hui hui l’étudiant est inscrit pour passer plus de temps au restaurant qu en classe" avait dit un conférencier.Les enseignants sont surpris de voir les salles se vider à partir d une certaine heure(surtout vers 10h,puis vers 17). Si tu ne fais pas cela tu seras à jeun.Juste cet exemple de besoin vital parmi tant d autres pour illustrer les conditions exécrables.
Actuellement c’est le problème du système LMD que personne ne maitrise !Un système qui exige plus d enseignants,de salles de cours,de documentation à jour,d internet,....Rien de tout cela n est fait mais il faut y aller car les plus grandes nations y sont et tout le monde y entre,mais comment ?
On nous fait croire que les effectifs des étudiants sont pléthoriques ;un petit calcul:il y a environ 6OOOO étudiants sur une population du Burkina estimée à 16000000,ce qui fait à peine 0,4% de la population.A moins que ce ne soit de la mauvaise foie de l’État de se réfugier sur des pseudo arguments,où est la pléthore d étudiant,ou encore à moins que l on ne veuille pas former sa jeunesse,et ce n est pas loin de cela.
Adaptez les infrastructures et moyens au nombre et non le contraire !
Aux étudiants de renforcer les luttes en attendant une autre ère" d’État providence",un État du Peuple et pour le Peuple !