Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
C’est sûrement une bonne opération de communication pour les raéliens. Mais dans ce pays, tout est possible. On demande aux chefs traditionnels de se trouver eux-mêmes une place dans le processus démocratique. Pourtant l’article 1er de la constitution stipule que tous les Burkinabè naissent libres et égaux en droit alors que la chefferie traditionnele est basée sur "le fait" qu’il y a des hommes supérieurs, faits pour commander ! Donc il ne faut pas s’étonner qu’un parti politique d’obédience religieuse, qui se réfère à un royaume bizaroïde, veuille briguer le pouvoir suprême. Si le Mogho Naaba Baongo retentait le coup d’Etat de son grand-père en 1958, ce serait pareil ! Et si une secte musulmane prônait le charia comme code juridique national, il serait dans son droit. Dans tous les cas Tiertus recevait ses correligionaires de passage en tant que premier ministre. QUI DORT EN SE GRATTANT LE CUL, SE REVEILLE AVEC LES DOIGTS PUANTS, disait Coluche...
C’est sûrement une bonne opération de communication pour les raéliens. Mais dans ce pays, tout est possible. On demande aux chefs traditionnels de se trouver eux-mêmes une place dans le processus démocratique. Pourtant l’article 1er de la constitution stipule que tous les Burkinabè naissent libres et égaux en droit alors que la chefferie traditionnele est basée sur "le fait" qu’il y a des hommes supérieurs, faits pour commander ! Donc il ne faut pas s’étonner qu’un parti politique d’obédience religieuse, qui se réfère à un royaume bizaroïde, veuille briguer le pouvoir suprême. Si le Mogho Naaba Baongo retentait le coup d’Etat de son grand-père en 1958, ce serait pareil ! Et si une secte musulmane prônait le charia comme code juridique national, il serait dans son droit. Dans tous les cas Tiertus recevait ses correligionaires de passage en tant que premier ministre. QUI DORT EN SE GRATTANT LE CUL, SE REVEILLE AVEC LES DOIGTS PUANTS, disait Coluche...