Sécurité alimentaire au Burkina : L’émergence de la réalité inquiète
13 octobre 2011, 02:22, par
Kuiliga
Le Burkina souffre de certaines de ses élites intellectuelles. On se demande souvent si certains décideurs pensent à l’intérêt général ou plutôt à celui individuel, particulier.
Entre 2008 et 2010 la volonté (exprimée à travers des subventions)combinée avec les actions synergiques de la recherche agricole et l’innovation technologique, de la vulgarisation et le courage des agriculteurs et agricultrices ont permis l’accroissement de la production du riz, du maïs, du niébé.
Pourquoi alors le MAH, le méga ministre court-il seul, maintenant qu’il y a un ministère plein de la recherche scientifique et de l’innovation ? Pourquoi ne pas travailler en complicité pour l’amélioration des conditions de vie de nos populations ?
Il est temps de cesser de privilégier le folklore, de cesser de se faire trop voir et de travailler à faire de vrais impacts durables avec les autres qui sont aussi indispensables que vous.
La réalité est tout autre que celle que vous présentez.
Mr le MAH, vous ne pouvez pas tout faire vous seul. Les autres ont leur place également. Laissez la donc leurs. Les enfants du Burkina n’auront pas tant faim.
Le Burkina souffre de certaines de ses élites intellectuelles. On se demande souvent si certains décideurs pensent à l’intérêt général ou plutôt à celui individuel, particulier.
Entre 2008 et 2010 la volonté (exprimée à travers des subventions)combinée avec les actions synergiques de la recherche agricole et l’innovation technologique, de la vulgarisation et le courage des agriculteurs et agricultrices ont permis l’accroissement de la production du riz, du maïs, du niébé.
Pourquoi alors le MAH, le méga ministre court-il seul, maintenant qu’il y a un ministère plein de la recherche scientifique et de l’innovation ? Pourquoi ne pas travailler en complicité pour l’amélioration des conditions de vie de nos populations ?
Il est temps de cesser de privilégier le folklore, de cesser de se faire trop voir et de travailler à faire de vrais impacts durables avec les autres qui sont aussi indispensables que vous.
La réalité est tout autre que celle que vous présentez.
Mr le MAH, vous ne pouvez pas tout faire vous seul. Les autres ont leur place également. Laissez la donc leurs. Les enfants du Burkina n’auront pas tant faim.