Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
FAUX MEDICAMENTS : La Police met la main sur 2,5 tonnes
5 octobre 2011, 20:23, par
mackiavel
Le problème des faux médicaments c’est qu’on établi toujours un mauvais diagnostic et par conséquent, la solution reflète les mauvaises analyses de départ. Premièrement, pourquoi les faux médicaments rentrent-ils chez nous. C’est parce qu’il y a des consommateurs. Et pourquoi y –t-il des consommateurs ? Parce que les gens sont pauvres et ne peuvent pas s’adresser aux officines pharmaceutiques dont certains par appât de gain prennent souvent les faux médicaments où vous allez trouver de grandes marches de différences dans les prix. Le marché du médicament est très règlementé et en principe les importations sont subventionnées par « péréquation » en prélevant des taxes sur des produits de grande consommation (riz, carburant…).
Solution, l’Etat devra maintenir sa politique de subvention et baisser le prix des vrais médicaments. Ensuite, maintenir une politique d’information en faisant en sorte que les consommateurs changent d’attitude vis-à-vis des vendeurs de rue. Enfin, déclarer les médicaments de la rue illégaux comme les stupéfiants. Qui a vu le hachich en vente libre au Faso ? Il faut « buter ces vendeur jusque dans leurs chiottes, comme le dirait Potine à propos des Tchétchènes.
Le problème des faux médicaments c’est qu’on établi toujours un mauvais diagnostic et par conséquent, la solution reflète les mauvaises analyses de départ. Premièrement, pourquoi les faux médicaments rentrent-ils chez nous. C’est parce qu’il y a des consommateurs. Et pourquoi y –t-il des consommateurs ? Parce que les gens sont pauvres et ne peuvent pas s’adresser aux officines pharmaceutiques dont certains par appât de gain prennent souvent les faux médicaments où vous allez trouver de grandes marches de différences dans les prix. Le marché du médicament est très règlementé et en principe les importations sont subventionnées par « péréquation » en prélevant des taxes sur des produits de grande consommation (riz, carburant…).
Solution, l’Etat devra maintenir sa politique de subvention et baisser le prix des vrais médicaments. Ensuite, maintenir une politique d’information en faisant en sorte que les consommateurs changent d’attitude vis-à-vis des vendeurs de rue. Enfin, déclarer les médicaments de la rue illégaux comme les stupéfiants. Qui a vu le hachich en vente libre au Faso ? Il faut « buter ces vendeur jusque dans leurs chiottes, comme le dirait Potine à propos des Tchétchènes.