Hôtel Silmande : Le fleuron n’est plus ce qu’il était
13 septembre 2011, 10:19
C’est vraiment déplorable de laisser un tel joyau mourir.L’ÉTAT doit vite revoir les procédures de privatisation en instaurant un comité de controle qui sera chargé de suivre l’exécution des clauses préétablies avant la signature des conventions.
Sinon Silmandé faisait la joie du faso.Dommage
C’est vraiment déplorable de laisser un tel joyau mourir.L’ÉTAT doit vite revoir les procédures de privatisation en instaurant un comité de controle qui sera chargé de suivre l’exécution des clauses préétablies avant la signature des conventions.
Sinon Silmandé faisait la joie du faso.Dommage