Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Affaire Me Dominique Zida : « Monsieur Dominique Zida n’est pas avocat », selon le bâtonnier
1er juillet 2011, 20:25, par
Wendpanga
Soutien à Maître Zida
A la lecture de l’article concernant la situation de Maître Zida, j’ai eu honte du comportement de certains acteurs de notre système judiciaire.
Je voudrais partager avec les lecteurs quelques observations
1) - Ce Monsieur a été autorisé à plaider devant les tribunaux par le gouvernement de ce pays en 1985, au moment où le nombre d’Avocats ne permettait même pas de créer un barreau. J’imagine que les questions de sa qualification pour la profession ont due être examinées lors de l’instruction du dossier qui a précédé la délivrance de l’autorisation.
2) - Le texte sur lequel se fonde son droit date de 1950 et il est toujours en vigueur.
Comment peut-on lui opposé aujourd’hui des conditions d’accès à une profession qu’il exerce déjà depuis 26ans. Les nouvelles conditions d’accès à la profession d’Avocat ne peuvent s’appliquer qu’à ceux qui voudraient y accéder à partir de l’entrée en vigueur de la nouvelle loi. Ne dit on pas que la loi n’est pas rétroactive.
3)- Les plus hautes juridictions de ce pays se sont déjà prononcées en sa faveur sur la question de l’usurpation de titre. L’intéressé a évoqué des décisions de la Cour Suprême de l’époque et la Cour d’Appel. Pourquoi le Bâtonnier s’obstine t- il à ignorer ces décisions des plus hautes juridictions du pays qui sont sans appel ? Est-ce le droit ou les intérêts personnels ? Comme disait un des intervenant à ce forum la loi est dur mais c’est la loi (Dura lex sed lex). Si le Bâtonnier et les quelques juges qui contestent le titre de Maître Zida sont logiques, ils doivent se plier aux décisions des plus hautes juridictions du pays même si elles ne sont pas à leur goût.
J’ai le sentiment que ce monsieur est vraiment une victime du système judicaire. Il est souhaitable que les autorités compétentes examinent de près ce dossier pour rendre justice à ce citoyen qui semble être un battant.
Soutien à Maître Zida
A la lecture de l’article concernant la situation de Maître Zida, j’ai eu honte du comportement de certains acteurs de notre système judiciaire.
Je voudrais partager avec les lecteurs quelques observations
1) - Ce Monsieur a été autorisé à plaider devant les tribunaux par le gouvernement de ce pays en 1985, au moment où le nombre d’Avocats ne permettait même pas de créer un barreau. J’imagine que les questions de sa qualification pour la profession ont due être examinées lors de l’instruction du dossier qui a précédé la délivrance de l’autorisation.
2) - Le texte sur lequel se fonde son droit date de 1950 et il est toujours en vigueur.
Comment peut-on lui opposé aujourd’hui des conditions d’accès à une profession qu’il exerce déjà depuis 26ans. Les nouvelles conditions d’accès à la profession d’Avocat ne peuvent s’appliquer qu’à ceux qui voudraient y accéder à partir de l’entrée en vigueur de la nouvelle loi. Ne dit on pas que la loi n’est pas rétroactive.
3)- Les plus hautes juridictions de ce pays se sont déjà prononcées en sa faveur sur la question de l’usurpation de titre. L’intéressé a évoqué des décisions de la Cour Suprême de l’époque et la Cour d’Appel. Pourquoi le Bâtonnier s’obstine t- il à ignorer ces décisions des plus hautes juridictions du pays qui sont sans appel ? Est-ce le droit ou les intérêts personnels ? Comme disait un des intervenant à ce forum la loi est dur mais c’est la loi (Dura lex sed lex). Si le Bâtonnier et les quelques juges qui contestent le titre de Maître Zida sont logiques, ils doivent se plier aux décisions des plus hautes juridictions du pays même si elles ne sont pas à leur goût.
J’ai le sentiment que ce monsieur est vraiment une victime du système judicaire. Il est souhaitable que les autorités compétentes examinent de près ce dossier pour rendre justice à ce citoyen qui semble être un battant.