Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Accident de la circulation : 7 morts et une centaine de blessés dans la Sissili
28 juin 2011, 10:28, par
Béranger
Toutes mes condoléances aux familles des victimes, et un prompt rétablissement aux blessés !
Pas facile, mais c’est le prix à payer, quand on demande l’application effective de la liberté de circulation dans nos états encore fragiles et qui manquent de tout, en matière d’infrastructures routières. En effet, depuis que l’on nous demande l’application de la liberté de circulation des personnes et des biens dans l’espace CEDEAO, le BF a appliqué à la lettre les consignes, au détriment même de la sécurité des usagers, sous la contrainte des sociétés de transport et des syndicats. Aujourd’hui, on peut traverser le pays d’est en ouest, du nord au sud, sans que personne ne vous demande quelque papier d’identité que ce soit. C’est bien ; mais le revers, c’est ce que nous vivons : de plus en plus d’accidents aux conséquences dramatiques, catastrohiques et à l’allure de tsunami, puisqu’il n’y a plus de contrôles routiers, sous prétexte que l’on est racquetté. A présent, à qui la faute ? Faudrait que les populations fassent le choix entre la sécurité, et quelques brebis galeuses qui les rançonnent de temps en temps, et la liberté d’aller et de venir dans le désordre, les surcharges..., et l’insécurité. Il n’y a que le BF qui croit en cette liberté, d’autant plus que dans la sous-région ouest africaine nous sommes les seuls à l’appliquer !
Toutes mes condoléances aux familles des victimes, et un prompt rétablissement aux blessés !
Pas facile, mais c’est le prix à payer, quand on demande l’application effective de la liberté de circulation dans nos états encore fragiles et qui manquent de tout, en matière d’infrastructures routières. En effet, depuis que l’on nous demande l’application de la liberté de circulation des personnes et des biens dans l’espace CEDEAO, le BF a appliqué à la lettre les consignes, au détriment même de la sécurité des usagers, sous la contrainte des sociétés de transport et des syndicats. Aujourd’hui, on peut traverser le pays d’est en ouest, du nord au sud, sans que personne ne vous demande quelque papier d’identité que ce soit. C’est bien ; mais le revers, c’est ce que nous vivons : de plus en plus d’accidents aux conséquences dramatiques, catastrohiques et à l’allure de tsunami, puisqu’il n’y a plus de contrôles routiers, sous prétexte que l’on est racquetté. A présent, à qui la faute ? Faudrait que les populations fassent le choix entre la sécurité, et quelques brebis galeuses qui les rançonnent de temps en temps, et la liberté d’aller et de venir dans le désordre, les surcharges..., et l’insécurité. Il n’y a que le BF qui croit en cette liberté, d’autant plus que dans la sous-région ouest africaine nous sommes les seuls à l’appliquer !