Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Blaise Compaoré et Gilbert Djindiéré : Cure de jouvance à Bobo
9 juin 2011, 12:20, par
Bakaridjan
Si les militaires savaient que les armes sans la légitimité populaire ne servaient pas.
A force d’ignorer cette verité ils ont contribué a mettre la population sur leur dos. Et voici qu’on vient de choisir entre un régime imparfait et des militaires voyous.
On est pas partant pour un pouvoir clanique, famillial certes, mais entre ce dernier et la barbarie des voyous de militaires le choix est sans équivoque.
La leçon à retenir est que le crépitement seul des armes ne suffisent plus à prôner le changement.
Quelqu’un avait dit dans ce forum que quand les Burkinabé imitent, ils imitent mal et il n’a pas eu tord. En Tunisie et Egypte c’est main dans la main, entre civile et corps habillés, que le changement s’est effectué.
Ici nops ecervelés de militaires n’ont pas compris cela. Dommage qu’on nous oblige à choisir Blaise. Cette bande d’ignare saura maintenant que le pouvoir, le vrai, n’est celui des armes, mais un emanation du peuple.
Si les militaires savaient que les armes sans la légitimité populaire ne servaient pas.
A force d’ignorer cette verité ils ont contribué a mettre la population sur leur dos. Et voici qu’on vient de choisir entre un régime imparfait et des militaires voyous.
On est pas partant pour un pouvoir clanique, famillial certes, mais entre ce dernier et la barbarie des voyous de militaires le choix est sans équivoque.
La leçon à retenir est que le crépitement seul des armes ne suffisent plus à prôner le changement.
Quelqu’un avait dit dans ce forum que quand les Burkinabé imitent, ils imitent mal et il n’a pas eu tord. En Tunisie et Egypte c’est main dans la main, entre civile et corps habillés, que le changement s’est effectué.
Ici nops ecervelés de militaires n’ont pas compris cela. Dommage qu’on nous oblige à choisir Blaise. Cette bande d’ignare saura maintenant que le pouvoir, le vrai, n’est celui des armes, mais un emanation du peuple.