COURRIER POUR KOSYAM : "Monsieur le président, une chambre-salon coûte entre 25 000 et 30 000 F CFA"
19 mai 2011, 10:17, par
GROS COEUR
Merci pour cette contribution. Le burkinabé moyen ne vit pas, il vivote et survit avec toutes ces charges que représente l’hébergement, la scolarité des enfants, la flambée du coût des vivres, etc. Certes, la réduction des loyers est un problème mais je pense que le secteur et la politique de l’habitat dans notre pays doit être revu. Aujourd’hui l’accent est mis sur les parcelles et non les logements ce qui fait que chacun veut une parcelle, chacun veut construire et les villes s’étendent à l’infini sans les infrastructures de base et pourtant l’État pourrait revoir sa politique pour la focaliser sur les logements afin qu’un même bâtiment à niveau puisse appartenir à plusieurs personnes (comme ce fut le cas de certaines cités). Nos experts nationaux pourraient peut être ébaucher des portes de sorties. Quant au coût des loyers, il y a effectivement lieu de revoir le coût des matériaux mais en tout état de cause, les états généraux du l’habitat et de l’urbanisme sonnent comme une nécessité. Bonne chance à nous tous
Merci pour cette contribution. Le burkinabé moyen ne vit pas, il vivote et survit avec toutes ces charges que représente l’hébergement, la scolarité des enfants, la flambée du coût des vivres, etc. Certes, la réduction des loyers est un problème mais je pense que le secteur et la politique de l’habitat dans notre pays doit être revu. Aujourd’hui l’accent est mis sur les parcelles et non les logements ce qui fait que chacun veut une parcelle, chacun veut construire et les villes s’étendent à l’infini sans les infrastructures de base et pourtant l’État pourrait revoir sa politique pour la focaliser sur les logements afin qu’un même bâtiment à niveau puisse appartenir à plusieurs personnes (comme ce fut le cas de certaines cités). Nos experts nationaux pourraient peut être ébaucher des portes de sorties. Quant au coût des loyers, il y a effectivement lieu de revoir le coût des matériaux mais en tout état de cause, les états généraux du l’habitat et de l’urbanisme sonnent comme une nécessité. Bonne chance à nous tous