Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Causes du décès de Justin Zongo : Contradictions entre les autorités et la famille
24 février 2011, 14:39
Le gouvernement de Zongo Tertius doit prendre cette affaire de Koudougou au serieux si chaque responsable au niveau où il est aime ce pays et veut que la paix ou le calme apparent que nombre de nos voisins envient perdure. Pour ce faire, toute la vérité doit être d’abord faite sur la mort de ce jeune élève. Le peuple de plus en plus est instruit parfois son niveau d’instruction dépasse celui de certains décideurs (maires, gouverneurs,préfets...) ; par conséquence certains mensonges (comme ce communiqué précipité du MESS)loin de calmer les avertis révoltent davantage. Plus les jours passent et avec les explications du procureur du Faso on se fait une idée de ce qui a bien pu arriver au jeune Zongo Justin,les faits sont têtus. L’élève a bel et bien été brutalisé à la police.On n’irait pas jusqu’à lier ces sévices à la mort du jeune homme sans examen approfondi, mais occulter cette maltraitance c’est insulter l’intelligence des gens.
Comme mesure d’apaisement en attendant de faire toute la lumière, comme le procureur du Faso a reconnu que des sévices ont été portés à cet enfant, le gouverneur, le directeur régional de police, les agents de police responsables de la brutalité... doivent avoir des sanctions conservatoires pour leur mauvaise gestion du problème.
En 2011, les forces de sécurité doivent avoir des méthodes modernes d’intervention.
Le gouvernement de Zongo Tertius doit prendre cette affaire de Koudougou au serieux si chaque responsable au niveau où il est aime ce pays et veut que la paix ou le calme apparent que nombre de nos voisins envient perdure. Pour ce faire, toute la vérité doit être d’abord faite sur la mort de ce jeune élève. Le peuple de plus en plus est instruit parfois son niveau d’instruction dépasse celui de certains décideurs (maires, gouverneurs,préfets...) ; par conséquence certains mensonges (comme ce communiqué précipité du MESS)loin de calmer les avertis révoltent davantage. Plus les jours passent et avec les explications du procureur du Faso on se fait une idée de ce qui a bien pu arriver au jeune Zongo Justin,les faits sont têtus. L’élève a bel et bien été brutalisé à la police.On n’irait pas jusqu’à lier ces sévices à la mort du jeune homme sans examen approfondi, mais occulter cette maltraitance c’est insulter l’intelligence des gens.
Comme mesure d’apaisement en attendant de faire toute la lumière, comme le procureur du Faso a reconnu que des sévices ont été portés à cet enfant, le gouverneur, le directeur régional de police, les agents de police responsables de la brutalité... doivent avoir des sanctions conservatoires pour leur mauvaise gestion du problème.
En 2011, les forces de sécurité doivent avoir des méthodes modernes d’intervention.