Monsieur Newton, après que Lingani ait clairement reconnu dans l’interview qu’il avait bien décidé d’arrêter le Président à son retour, vous ne pouvez pas écrire que " incontestablement, le malheureux Jean Baptiste Lingani est mort pour rien. Il n’a pas trahi Blaise Compaoré". Bien sûr, on peut regretter la peine capitale qui lui a été infligée. Mais connaissant les moeurs politiques de l’époque, qui peut dire si Lingani n’aurait pas fait exécuter le Président à son arrestation ?
En outre, la thèse du piège qui aurait été tendu au pauvre Lingani est bien curieuse : à ce niveau de responsabilité militaire, si on ne sait pas rester lucide devant ce que disent les visiteurs du soir, c’est très grave.
Newton, arrêtez donc avec votre pseudo-journalisme. Vous n’avez pas le droit de fouler au pied des évidences pour arriver aux conclusions politiques qui vont arrangent !
Monsieur Newton, après que Lingani ait clairement reconnu dans l’interview qu’il avait bien décidé d’arrêter le Président à son retour, vous ne pouvez pas écrire que " incontestablement, le malheureux Jean Baptiste Lingani est mort pour rien. Il n’a pas trahi Blaise Compaoré". Bien sûr, on peut regretter la peine capitale qui lui a été infligée. Mais connaissant les moeurs politiques de l’époque, qui peut dire si Lingani n’aurait pas fait exécuter le Président à son arrestation ?
En outre, la thèse du piège qui aurait été tendu au pauvre Lingani est bien curieuse : à ce niveau de responsabilité militaire, si on ne sait pas rester lucide devant ce que disent les visiteurs du soir, c’est très grave.
Newton, arrêtez donc avec votre pseudo-journalisme. Vous n’avez pas le droit de fouler au pied des évidences pour arriver aux conclusions politiques qui vont arrangent !