Démission du ministre Jérôme Bougouma : Un acte seigneurial
12 février 2010, 12:07, par
armandjoseph2000@yahoo.fr
Cette affaire doit aussi être l’occasion d’une réflexion dépassionnée sur la pratique du journalisme, notamment sur ce que j’appelle la "responsabilité morale du journaliste".
Jusqu’à quel seuil le journaliste au nom du droit d’informer qui lui est reconnu, peut-il aller, même quand il s’agit d’acteurs publics ? De manière plus prosaïque, un journaliste, est-ce un "moralisateur" ou un "médiateur" ? Question à qui de droit ? Comment le journaliste, tout en restant libre et objectif dans ses choix, peut-il éviter de "recréer" à un autre niveau le "monde" qu’il critique ? Question à qui de droit !
Cette affaire doit aussi être l’occasion d’une réflexion dépassionnée sur la pratique du journalisme, notamment sur ce que j’appelle la "responsabilité morale du journaliste".
Jusqu’à quel seuil le journaliste au nom du droit d’informer qui lui est reconnu, peut-il aller, même quand il s’agit d’acteurs publics ? De manière plus prosaïque, un journaliste, est-ce un "moralisateur" ou un "médiateur" ? Question à qui de droit ? Comment le journaliste, tout en restant libre et objectif dans ses choix, peut-il éviter de "recréer" à un autre niveau le "monde" qu’il critique ? Question à qui de droit !