Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Démission du ministre Jérôme Bougouma : Un acte seigneurial
12 février 2010, 10:23
A mon avis aussi bien la presse et les internautes ne voient en l’acte de Bougma, l’adultère. Je pense qu’il faut au delà de cet acte, certes grave mais à mon sens est le moindre mal. Ce qui est le plus grave, c’est sa presse ou sa supposé pression sur la justice après s’être mis au dessous de notre loi notamment le Code des personnes et de la famille, pour attribuer son nom à un enfant né d’un couple légalement marié. Je pense que le CPF ne souffre d’aucune ambiguité la dessus. Il est vrai que l’erreur est humiane, il est aussi vrai que les us et coutumes mêmes de notre société ne permet pas cela. Je ne veux dire que le mari trahi serait heureux que cet enfant porte son nom mais Bougma devait attendre la sagesse et l’honneur de ce mari de renoncer à la paternité de l’enfant afin de s’ajuger la paternité. Et c’est ce que énonce notre Code des personnes et de la famille, qu’il dit que l’enfant issu d’un couple marié est présumé avoir pour père le mari de sa mère et que si tel n’était pas le cas, il faudrait que le mari en dénonce sa paternité de l’enfant né de ce couple. Lisez le CPF et vous comprendrez la gravité de l’acte de ce monsieur Bougma. S’il est vrai que l’erreur est humaine, pourquoi après avoir commis une telle erreur, s’entêter à vouloir la peau du mari, c’est en cela que son action est difficile à comprendre et même très choquante.
A mon avis aussi bien la presse et les internautes ne voient en l’acte de Bougma, l’adultère. Je pense qu’il faut au delà de cet acte, certes grave mais à mon sens est le moindre mal. Ce qui est le plus grave, c’est sa presse ou sa supposé pression sur la justice après s’être mis au dessous de notre loi notamment le Code des personnes et de la famille, pour attribuer son nom à un enfant né d’un couple légalement marié. Je pense que le CPF ne souffre d’aucune ambiguité la dessus. Il est vrai que l’erreur est humiane, il est aussi vrai que les us et coutumes mêmes de notre société ne permet pas cela. Je ne veux dire que le mari trahi serait heureux que cet enfant porte son nom mais Bougma devait attendre la sagesse et l’honneur de ce mari de renoncer à la paternité de l’enfant afin de s’ajuger la paternité. Et c’est ce que énonce notre Code des personnes et de la famille, qu’il dit que l’enfant issu d’un couple marié est présumé avoir pour père le mari de sa mère et que si tel n’était pas le cas, il faudrait que le mari en dénonce sa paternité de l’enfant né de ce couple. Lisez le CPF et vous comprendrez la gravité de l’acte de ce monsieur Bougma. S’il est vrai que l’erreur est humaine, pourquoi après avoir commis une telle erreur, s’entêter à vouloir la peau du mari, c’est en cela que son action est difficile à comprendre et même très choquante.