Vote des Burkinabè de l’étranger : Revoir la loi avant sa mise en œuvre
1er novembre 2009, 10:43, par
yampol
Nos gouvernents ne savent pas donner des priorités à leurs actions politiques. Notre pauvreté ferme nos yeux sur l’essentiel de la bonne gouvernance qui recommande d’abord des élections efficientes et crédibles dans sa mise en oeuvre sur la territoire national. Et puis, l’immensité des tâches du gouvenement par rapport aux moyens financiers est un argument massu pour reléguer à bien plus tard, les votes des Burkinabè de l’étranger. Des pays bien plus nantis que le Burkina sont plus regardant sur le poids financier des élections pour s’y hazarder.
Nous connaissons aujourd’hui les difficultés financières de la ceni dans la mise en oeuvre des élections de 2010. A quand le relecture des listes électorales ? Comment le président Blaise Compaoré peut appeler au secours la communauté internationale suite aux inondations du 1er septembre, lui réclamer 70 milliards pour je ne sais quoi, et s’aventurer dans ce luxe électoral que constitue le vote des Burkinabè à l’étranger ? Je pense que les burkinabè de l’étranger constitut, de l’analyse magouillarde du pouvoir en place, un bétail électoral vue les difficultés politiques intérieures. Il est évident qu’aucun autre parti polilique que le pouvoir n’a les moyens de battre sa campagne politique au Soudan, en espagne ou ailleurs, et que le tripatouillage des urnes sera facilité les fonctionnaires zélés dans nos ambassades, nommés par le pouvoir, fera le reste.
Jusqu’à quand le Burkina continuera-t-il de faire le garibou ? A croire que tendre quotidiennement la sébile nous nous rend chaque jour un peu plus bête et inconscient au vue de la communauté internationale !
Nos gouvernents ne savent pas donner des priorités à leurs actions politiques. Notre pauvreté ferme nos yeux sur l’essentiel de la bonne gouvernance qui recommande d’abord des élections efficientes et crédibles dans sa mise en oeuvre sur la territoire national. Et puis, l’immensité des tâches du gouvenement par rapport aux moyens financiers est un argument massu pour reléguer à bien plus tard, les votes des Burkinabè de l’étranger. Des pays bien plus nantis que le Burkina sont plus regardant sur le poids financier des élections pour s’y hazarder.
Nous connaissons aujourd’hui les difficultés financières de la ceni dans la mise en oeuvre des élections de 2010. A quand le relecture des listes électorales ? Comment le président Blaise Compaoré peut appeler au secours la communauté internationale suite aux inondations du 1er septembre, lui réclamer 70 milliards pour je ne sais quoi, et s’aventurer dans ce luxe électoral que constitue le vote des Burkinabè à l’étranger ? Je pense que les burkinabè de l’étranger constitut, de l’analyse magouillarde du pouvoir en place, un bétail électoral vue les difficultés politiques intérieures. Il est évident qu’aucun autre parti polilique que le pouvoir n’a les moyens de battre sa campagne politique au Soudan, en espagne ou ailleurs, et que le tripatouillage des urnes sera facilité les fonctionnaires zélés dans nos ambassades, nommés par le pouvoir, fera le reste.
Jusqu’à quand le Burkina continuera-t-il de faire le garibou ? A croire que tendre quotidiennement la sébile nous nous rend chaque jour un peu plus bête et inconscient au vue de la communauté internationale !