Salif Diallo : “Il faut dissoudre l’Assemblée et instaurer un régime parlementaire”
9 juillet 2009, 20:54, par
Thiphanie
Je suis très surprise que ces propositions de profondes réformes viennent d’un Monsieur comme Salif Diallo qui plus est un acteur de de première ligne du système "OMP/MT -CDP" depuis des années. Je ne suis pas convaincue de sa bonne foi et cette interview est loin d’être fortuite et innocente. Qu’est-ce qu’il à justifier à tout bout de champ que ce sont des idées qui n’engage que le citoyen Salif ? Il est en train de jouer un acte d’une pièce savemment préparée. Tout ça pour nous distraire ! N’importe quoi. Néanmoins je partage son idée qui consiste à revoir les accords signés avec les institutions de Bretton Woods. Quant au reste, point besoin de changement de régime pour sortir le Burkina du sous-développement et de la misère endémique dans lesquels il se trouve, commencer par faire fonctionner légalement, démocratiquement et effectivement les institutions déjà existentes, débarassons-nous des institutions inutiles et budgétivores, combattons la corruption, la démagogie, le népotisme, mettons l’homme/la femme qu’il faut à la place qu’il faut, etc et nous aurons des lendemains meilleurs, l’espoir renaitra pour les dignes fils/filles du Faso que nous sommes
Je suis très surprise que ces propositions de profondes réformes viennent d’un Monsieur comme Salif Diallo qui plus est un acteur de de première ligne du système "OMP/MT -CDP" depuis des années. Je ne suis pas convaincue de sa bonne foi et cette interview est loin d’être fortuite et innocente. Qu’est-ce qu’il à justifier à tout bout de champ que ce sont des idées qui n’engage que le citoyen Salif ? Il est en train de jouer un acte d’une pièce savemment préparée. Tout ça pour nous distraire ! N’importe quoi. Néanmoins je partage son idée qui consiste à revoir les accords signés avec les institutions de Bretton Woods. Quant au reste, point besoin de changement de régime pour sortir le Burkina du sous-développement et de la misère endémique dans lesquels il se trouve, commencer par faire fonctionner légalement, démocratiquement et effectivement les institutions déjà existentes, débarassons-nous des institutions inutiles et budgétivores, combattons la corruption, la démagogie, le népotisme, mettons l’homme/la femme qu’il faut à la place qu’il faut, etc et nous aurons des lendemains meilleurs, l’espoir renaitra pour les dignes fils/filles du Faso que nous sommes