Recherche scientifique : Du sorgho OGM pour sauver les enfants de la malnutrition
25 février 2009, 08:41, par
Père Joachim Zoundi sj
Je voudrais juste réagir à propos de cet article. Je comprend que le Burkina accepte les OGM en ce qui concerne le coton. Mais je ne comprends pas qu’il prenne le gros risque d’essayer avec le sorgho quand on sait que les OGM sont encore objet de polémique. Accepter cette étape c’est cherhcer la facilité avec le gros risque d’être à jamais dépendant du Montsanto. Il faut attendre encore plusieurs années avant de se prononcer sur les OGM, car il n’y a que les experts du groupe qui ont fait les tests sur leur produit. En France, quoi que les journaux aient déclaré qu’il n’y avait pas de danger avec les OGM, ce pays n’a pas levé son interdit par rapport aux OGM. Je pense que notre pays doit aussi avoir la même prudence pour éviter que ces produits ne finissent par détruire nos populations plus qu’ils ne l’aidenty à progresser. Père Joachim Zoundi sj.
Je voudrais juste réagir à propos de cet article. Je comprend que le Burkina accepte les OGM en ce qui concerne le coton. Mais je ne comprends pas qu’il prenne le gros risque d’essayer avec le sorgho quand on sait que les OGM sont encore objet de polémique. Accepter cette étape c’est cherhcer la facilité avec le gros risque d’être à jamais dépendant du Montsanto. Il faut attendre encore plusieurs années avant de se prononcer sur les OGM, car il n’y a que les experts du groupe qui ont fait les tests sur leur produit. En France, quoi que les journaux aient déclaré qu’il n’y avait pas de danger avec les OGM, ce pays n’a pas levé son interdit par rapport aux OGM. Je pense que notre pays doit aussi avoir la même prudence pour éviter que ces produits ne finissent par détruire nos populations plus qu’ils ne l’aidenty à progresser. Père Joachim Zoundi sj.