Extrémisme violent : Les familles en quête de stratégies de résilience

"sous la pression de la culture occidentale et de l’école, plusieurs valeurs autrefois prônées par la famille africaine, ont été perdues."
"Ce qui entraîne bien souvent l’enrôlement et la radicalisation de certains enfants"
Bravo les intellectuels !
Si ce n’es que la plupart des "enrôlés/radicalisés" n’ont eu pour seule école qu’une madrassa et la rue où ils ont déambulé dans la mendicité, l’humiliation et que la culture occidentale est précisément ce qu’ils abhorrent et combattent à tout prix.
Dans ce pays, chacun veut continuer à organiser salons, festivals et autres activités, bien planqués dans le luxe du Ouagaland, mais pour éviter que la honte ne les étouffe, on choisira toujours une thématique qui peut donner à penser que l’on se préoccupe du sort du Burkinistan... assorti parfois d’une minute de silence.