France-Mali : La France suspend son aide au développement. Le Mali suspend les ONG françaises

@Renault HÉLIE
Je dis. (comme dises les autres, ;-))

Est-ce que vous défendez sur ce forum, la continuité de l’asservissement des africains ou vous vous souciez réellement de ce qui peut être pour eux ?

Avec des esprits bienveillants, ceci est une question sans prendre partie.

Vous me prêtez une affirmation...
Avec des esprits malintentionnés, c’est ainsi ça se passe. On transforme l’hospitalité et la bienveillance en ce que l’on veut, pour ensuite justifier l’esclavage, colonisation, néo-colonisation, pédophilie et tout ça couronné de pleurnicherie digne d’une gazelle en chaleur...
Faut pas prendre les enfants du bon dieu pour canards sauvages et faut pas trop jouer avec l’étalon si non, ceux qui sont friands de brochettes de gazelle en auront pour leurs comptes.

D’abord va falloir comprendre qu’une question n’est pas égale à une affirmation. Ayez au moins la probité de me prêter mes propos. L’échange sera saine à ce moment là.

Pour maintenant répondre à ce que vous prêtez au Mali et Burkina qui est là aussi la traduction de vos propres hallucinations que vous prenez pour nos réalités.
Aucun des deux pays n’a refusé de co-entrependre avec des investisseurs quels qu’ils soient d’où ils viennent.
Ce qui change, c’est l’exclusivité qu’avaient certains et vu que nous voulons plus d’équité car, comme vous dites, depuis plus de 60 ans on est lésé dans nos échanges en tous domaines avec ce partenaire exclusif qui lui, se fait des choux gras avec indécence et mépris à notre égard.

Voilà ce qui change et vous fait peur car qui dit diversification de nos partenaires et échanges, dit mise à nu des médiocres et borgnes aux pays des aveugles, se prenant pour des rois inamovibles.

Une fois de plus, vous n’avez de leçon à donner à personne et nous ne voulons en aucun cas, en recevoir de personne.
la qualité de la relation déterminera qui sera ou pas notre partenaire. Toubab ou extraterrestre. Il n’est plus question de nous dicter quoi que ce soit. Il en reste des bribes de ces pratiques mais c’est au bord de l’eau que vous pouvez encore agir. Suivez mon regard.

D’ailleurs, messieurs on veut donner des leçons aux pauvres africains qui ne comprennent pas que tout ce que nous voulons c’est leurs bien, nous qui sommes du pays supposé celui des droits de l’homme.

Pouvez-vous nous expliqué comment le chordécone, ce pesticide interdit aux USA depuis 1976, il y a 46 ans mais autorisé aux Antilles jusqu’en 1995 par le pays supposé des droits humains bénéficie allègrement d’un non lieu en novembre 2022 par ce même pays ???

Ne serait-ce qu’une chose et son contraire ???
Je sais que c’est un poison. Je l’interdit chez moi mais chez l’autre, que j’ai toujours considéré comme mon esclave, je l’autorise jusqu’en 1995 comme permettre l’empoisonnement du plus grand nombre de la population. Et si des personnes contaminées se plaignent en justice, je déclare un non lieu. Qui sont-ils pour se plaindre ???