Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Lancement du concours slam « Jeunes contre la corruption et l’impunité des crimes économiques »
14 novembre 2022, 15:48, par
Dey
Bonjour,
Je n’ai pas l’âge pour participer à ce concours mais je vous transmets ce texte qui pourrait vous intéresser
Climatosceptiques
Messieurs les notables
Qui du haut de vos élections
Prenez mille décisions
Vêtues de raisonnable
Où est passé l’étudiant
Qui pavé dans la main
Slogans sur les murs
Voulait changer demain
Pour un monde plus pur !
Vous qui n’aviez à la bouche
Quelle que soit votre couche
Qu’un cri : « Révolution ! »
Vous qui avez eu votre mai
Répondez à cette question
Qu’en avez-vous fait ?
Voilà qu’à vos petits fils
Vous leur faites la guerre
Et jeter en sacrifice
Leur jeunesse éphémère
Pour vivre dans le confort
Votre passage chez les morts
Continuer à nier l’évidence
A tuer la planète
Pour avoir plus d’essence
Le temps de votre retraite
Mais sachez que dans cent ans
Sur les pierres tombales
De vos petits-enfants
L’épitaphe fatale
Qu’on y lira gravée pour l’éternité
Sera : « C’est mon grand-père qui m’a tué ! »
Bonjour,
Je n’ai pas l’âge pour participer à ce concours mais je vous transmets ce texte qui pourrait vous intéresser
Climatosceptiques
Messieurs les notables
Qui du haut de vos élections
Prenez mille décisions
Vêtues de raisonnable
Où est passé l’étudiant
Qui pavé dans la main
Slogans sur les murs
Voulait changer demain
Pour un monde plus pur !
Vous qui n’aviez à la bouche
Quelle que soit votre couche
Qu’un cri : « Révolution ! »
Vous qui avez eu votre mai
Répondez à cette question
Qu’en avez-vous fait ?
Voilà qu’à vos petits fils
Vous leur faites la guerre
Et jeter en sacrifice
Leur jeunesse éphémère
Pour vivre dans le confort
Votre passage chez les morts
Continuer à nier l’évidence
A tuer la planète
Pour avoir plus d’essence
Le temps de votre retraite
Mais sachez que dans cent ans
Sur les pierres tombales
De vos petits-enfants
L’épitaphe fatale
Qu’on y lira gravée pour l’éternité
Sera : « C’est mon grand-père qui m’a tué ! »
Miguel Dey